jeudi 6 décembre 2018

La plèbe gronde !


La Liberté guidant le Peuple de Delacroix

Comme un retour au Moyen-Age, de l'avènement d'une barbarie des temps modernes.

Je suis frappé par la terminologie journalistique qui nous parle de fronde et de jacquerie en parlant des "Gilets jaunes". 


Nous ne sommes plus des serfs taillables et corvéables à merci !

Et, un parallèle est rapidement fait avec les états généraux initier par le roi  et les cahiers de doléances qui font remonter à Paris les douleurs et souffrances du peuple. 


A l'époque, le peuple croule sous les taxes et les impôts, le dîme et la gabelle, les péages sont légions au royaume de France.
Aujourd'hui, rien n'a changé, le roi-président au Palis de l'Elysée taxe et taille à loisirs la plèbe besogneuse.
Louis XIV l'avait compris, il est l'initiateur de l'impôt moderne et il disait à son ministre qui se morfondait pour remplir les caisses de l'état : "Nous prendrons aux pauvres, ils sont plus nombreux !" Les riches ne doivent pas être impactés, ce sont eux qui soutiennent le pouvoir.


Le peuple, c'est la démocratie !

De démos = peuple et cratie = pouvoir, le pouvoir du peuple.

J'entends également de nombreuses confusions sur le mot politique.
Il y a le politique et la politique. 
Le politique, c'est l'affaire du citoyen qui donne son avis et son pouvoir dans la cité. Il participe à l'organisation politique du pays.
La politique est l'affaire d'hommes et de femmes qui en ont fait leur profession et leur gagne-pain.

Nous citoyens"Gilets jaunes", nous sommes partie prenante DU POLITIQUE pour infléchir la politique politicienne !

De ce fait, aucun mouvement, aucun syndicat n'est apolitique !

Jean-Louis Aguilar / citoyen français



mercredi 28 novembre 2018

Une semaine en jaune par Michel ONFRAY



Tout à leur entreprise de désinformation, les chaînes qui tournent en boucle leur propagande anti-Gilets jaunes ont commencé la semaine en faisant savoir que, le lundi, la mobilisation avait beaucoup baissé, que les occupations étaient moins nombreuses, etc, etc. Faut-il préciser à ces néo-journalistes que ce petit peuple exprimant sa souffrance ne peut manifester sur la longue durée comme peuvent le faire les fonctionnaires? Certes les agents de l’Etat perdent de l’argent (quand le syndicat ne négocie pas, c’est parfois dans son plan, un paiement du temps de certains jours de grève…), mais jamais leur travail. Alors que les Gilets jaunes perdent et de l’argent et leur travail s’ils s’installent durablement sur les ronds-points parce qu’ils ont une profession modeste, voire un employeur qui n’hésiterait pas à les licencier si d’aventure ils ne venaient pas travailler. Pour les Gilets jaunes, c’est la double peine. Mais les néo-journalistes préfèrent titrer sur "le mouvement qui s’essouffle" dès le premier jour de la semaine.

  Ensuite, ils insistent sur les accidents causés par les Gilets jaunes. Là aussi, là encore, il s’agit de discréditer le mouvement. Il ne vient pas à l’idée de ces néo-journalistes que ce sont la plupart du temps non pas des accidents causés par les Gilets jaunes mais par ceux qui refusent les Gilets jaunes! Car le filtrage, et non l’immobilisation, exige des gens un peu de leur temps et non, comme il fut dit, des nuits passées dans des véhicules. De sorte que ceux qui s’énervent parce qu’on les ralentit et le font savoir de façon agressive, parfois en fonçant dans la foule, font naître l’énervement des Gilets jaunes. Il y a toujours un internaute bien inspiré qui filme et met en ligne afin de faire savoir que tel incident dans tel endroit est représentatif de la totalité du mouvement de revendication. La création d’un hashtag pour mettre en ligne toutes ces scènes bout-à-bout fait les choux gras de cette télévision qui jouit de relayer les éléments de langage venus de l’Elysée et du ministère de l’Intérieur: ce mouvement est entièrement raciste, totalement antisémite et absolument homophobe!

Par ailleurs, la valse des récupérations ayant commencé, il est de bon ton d’associer ce mouvement qui n’a pas de chef, pas de tête, donc pas de leader à acheter ou à qui proposer un poste dans une commission, une entrée au Conseil d’Etat ou un statut de chargé de mission très bien rémunéré, on souligne, surligne, puis souligne et surligne encore, que le mouvement procède de Marine Le Pen, donc, à l’aide de force joffrinades, du nationalisme, du vichysme, du pétainisme, du fascisme.

   C’est dans cet ordre d’idée que BHL commente le mouvement. Il tient les mêmes propos que Castaner. Dans une dégustation à l’aveugle, on pourrait douter de qui est qui! A part dans les dictatures brunes ou rouges, c’est un cas rare de philosophe qui se fait le ventriloque d’un ministre de l’Intérieur –ou l’inverse.

En clôture de la convention nationale du Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF), BHL a expliqué "qu’il s’est là incontestablement passé quelque chose". Nous étions le dimanche 18 novembre, la veille, il avait pourtant écrit dans un tweet: "Poujadisme des Gilets jaunes. Échec d’un mouvement qu’on nous annonçait massif. Irresponsabilité des chaînes d’info qui attisent et dramatisent. Soutien à Macron, à son combat contre les populismes et à la fiscalité écolo." (17 novembre 2018) Il est vrai que le lendemain, il écrivait aussi: "Il s’est passé quelque chose de très important. Parce qu’un mouvement est inorganisé, auto-organisé, sans chef, il serait sans lendemain, sans identité politique? Je ne crois pas. S’est produit, hier, un événement politique majeur." Le 17, ce mouvement était un "échec"; le lendemain, il est "majeur"… C’est sur cette ligne que BHL continue. Son discours mobilise la Critique de la raison dialectique de Jean-Paul Sartre et Mythologies de Roland Barthes, L’Iliade d’Homère et l’Ethique à Nicomaque d’Aristote, le Gorgias de Platon et la Septante, l’Ancien Testament et le Talmud, Les Passions de l’âme de René Descartes ("de mémoire l’article 202", dit-il car, bien évidemment, il en connaît les 212 articles par cœur…), l’Ethique de Baruch Spinoza et le Léviathan de Thomas Hobbes, Jean-Claude Milner et Drieu la Rochelle, pour accoucher d’une souris phénoménologique: les Gilets jaunes, ce sont les ligueurs fascistes de 1934… 

   Or ces Gilets jaunes sont juste des gens qui, quand les casseurs ne les infiltrent pas avec la bénédiction du pouvoir, sont juste des gens modestes qui font savoir qu’à l’approche de Noël ils vont avoir du mal à offrir des cadeaux à leurs enfants ou à leurs petits enfants. Sont-ce des fascistes qui veulent abolir la République? Non. Ce ne sont rien d’autres que des citoyens qui veulent la restaurer depuis que l’Etat maastrichtien l’a abolie…

   On ne me fera pas croire que le pouvoir n’apporte pas son soutien aux casseurs. Car, la chose était visible sur toutes les télévisions qui retransmettaient l’événement en direct: ce pouvoir a laissé certains individus dépaver l’avenue des Champs-Elysées sans intervenir et ce, comme par hasard, devant les caméras de télévision! Il me semble que, si l’on voit des gens desceller des pavés, ça n’est pas pour emporter un souvenir de Paris chez eux mais, comme la suite l’a montré, pour les envoyer sur la police. Le mieux, pour éviter qu’un pavé ne parvienne sur le visage d’un CRS, c’est de le laisser là où il est, à savoir dans la rue, et d’empêcher les dépaveurs de préparer leur forfait en présence des caméras de BFM! Par ailleurs, on ne parviendra pas à me convaincre que les forces de l’ordre ne pouvaient pas encercler ces manifestants violents afin de les interpeller si l’ordre leur avait été donné. Ils ne l’ont pas fait, c’est donc que le pouvoir voulait que ceux-là dépavent et jettent ensuite leurs pavés sur les forces de l’ordre et sur les magasins. Le lendemain d’ailleurs, les chaînes que l’on sait faisaient des micros-trottoirs devant les boutiques de luxe dont les vitrines avaient été cassées –probablement au pavé…– pour ne sélectionner que des témoignages de déploration!  "C’est une honte!", "Quelle image donne-t-on à l’étranger?", "Quelle misère de détruire ainsi des instruments de travail!", etc.

   Le pouvoir veut discréditer le mouvement, c’est entendu. Cachant mal leur joie, les journalistes n’ont cessé de poser la question: "Est-ce que le mouvement qui bénéficie d’un fort soutien dans la population conservera cette faveur après ce déchaînement de violence?", comme il fut dit d’une chaîne l’autre. On voyait bien que les néo-journalistes se retenaient d’ajouter: "On espère bien qu’il va le perdre, ce soutien, d’ailleurs on fait tout pour ça, c’est notre boulot et on est payés pour ça…"

   Tous ceux qui veulent absolument fasciser le mouvement n’imaginent pas ce qu’est une vie modeste ou une vie de pauvre. Gérald Darmanin, par exemple, qui endosse la soutane de l’abbé Pierre pour mieux cacher sa peau de requin de la politique politicienne, feint de comprendre que la vie est dure pour les gens puisque la note moyenne d’un restaurant parisien est de 200 euros sans les vins –ça, ce sont les cantines du patron de Libé ou de BHL, sinon du journaliste Maurice Szafran [1], mieux connu pour ses notes de frais que pour son œuvre complète…

   Il y eut ensuite Nicolas Hulot effectuant "sa rentré politique" comme il fut dit –ce qui paraît bien étrange de la part de quelqu’un qui a fait savoir qu’il ne faisait pas de politique et qu’il continuerait à ne pas en faire! Cet homme qui prophétise la fin de la planète à cause du moteur de voiture des pauvres possède neuf véhicules: six voitures, une moto, un bateau, un scooter. Détaillons: une grosse cylindrée BMW, une Volkswagen, un Peugeot Boxer, autrement dit un petit camion, un très polluant Land Rover, une vieille 2 CV qui pollue comme à l’époque et un autre véhicule non précisé. Son bateau est à moteur, sa moto BMW n’est pas à voile et son scooter, parce qu’il est électrique, fonctionne à l’énergie nucléaire –donc avec l’aide des centrales atomiques… Il comprend bien la misère des gens (ça, c’est pour rester dans le Top 10 des Français préférés, à choisir dans une liste de dix noms de Français préférés…), mais il comprend mieux encore la misère de la planète. Faut-il lui rappeler, à monsieur l’ex-ministre, qu’une infime partie seulement des taxes prélevées sur le plein d’essence des Français pauvres ira à la transition écologique?

 Que deviendra le restant [2]? Il servira à équilibrer le budget exigé par l’Etat maastrichtien. Après avoir fait des cadeaux aux riches et s’être ainsi privé des ressources de l’impôt sur la fortune, le président Macron doit bien prendre de l’argent quelque part, d’où le racket sur les pompes à essence: ce sont en effet les pauvres qui paient à la place des riches –on comprend que les riches et leurs amis éditorialistes et journalistes qui mangent dans les restaurants où l’on croise Gérald Darmanin aient intérêt à expliquer en long, en large et en travers que ces salauds de pauvres qui aimeraient pouvoir acheter des cadeaux à leurs enfants au prochain Noël sont assimilables aux ligueurs fascistes de 1934!

  Cette semaine s’est donc terminée avec la manifestation des Champs-Elysées. On  a vu combien le pouvoir et la presse, le pouvoir de la presse et la presse du pouvoir, ont passé leur temps à discréditer le mouvement. Il y eut un moment de vérité sidérant sur BFM, où un journaliste a clairement commenté les chiffres donnés par Castaner : "Ces chiffres sont ceux du ministère, a priori (sic) il n’y a aucune raison de les contester!" Il était 18h30, il fallait siffler la fin de la récréation: la journée fut donc bel et bien une affaire d’extrémistes de droite et de gauche. Comme les médias et les politiciens ont abondamment usé de l’élément de langage "extrême-droite" et qu’on ne sait plus comment nommer la véritable extrême-droite, on se met désormais à parler d’"ultra-droite"!  La journée avait donc été une journée parisienne de violence à cause de l’ultra-droite elle même pilotée par l’extrême droite. C’était donc encore un coup du maréchal Pétain –BHL nous avait prévenus…

   Pour ma part, je n’ai jamais eu confiance dans les chiffres donnés par le ministère de l’Intérieur ou par les organisateurs des manifestions. Castaner ose tout, c’est d’ailleurs à ça qu’on le reconnaît. S’il avait pu dire qu’il y avait eu cent-trente personnes dans toute la France, et ce sur vingt-sept ronds-points seulement, il l’aurait fait… Il y a mis les formes et donne un comptage à la dizaine près sans imaginer une seule seconde que pareil détail prouve que le chiffre est faux…

Michel Onfray

[1] https://www.arretsurimages.net/articles/marianne-ses-tres-hauts-salaires-et-sa-deleguee-syndicale-poussee-vers-la-sortie?id=4304

[2] https://www.lepoint.fr/economie/carburants-ou-vont-les-recettes-des-taxes-09-11-2018-2270172_28.php#

Sources : Michel Onfray.com
 https://michelonfray.com/interventions-hebdomadaires/une-semaine-en-jaune?fbclid=IwAR1d6Y2dXWzb5WI_LX9wOLp53a9FnUwY35dtvIT6P3_ulEUdTJLELj3Tn7g

mardi 27 novembre 2018

Ce que veulent réellement les gilets jaunes !


Que le gouvernement MACRON nous rendent nos retraites (CSG, taxes diverses, indexation des retraites sur l'inflation...)

Que le gouvernement MACRON s'occupe réellement des retraités pauvres, des étudiants pauvres, des travailleurs pauvres....hausse des allocations...

Que le gouvernement MACRON rétablisse l'ISF, l'Impôt sur la Fortune, les riches ont plus d'argent que les classes moyennes.

Que le gouvernement MACRON taxe les entreprise du CAC 40 à leur juste valeur.

Que le gouvernement MACRON arrête la taxation des carburants qui revient à taxer les plus pauvres.
Le carburant et en particulier le Gasoil est un faux problème, la voiture électrique détruit les terres rares et pollue autant dans la phase de recyclage.

Que les banques payent le déficit des retraites à la place des retraités. C'est possible, le gouvernement espagnol l'a fait.

Que le gouvernement MACRON fasse payer les constructeurs automobiles pour payer la transition énergétique. C'est à cause d'eux que nous avons  acheté des diesels.

Que le gouvernement ne diminue pas les retraites de réversion destinées aux femmes qui se retrouvent veuves et sans ressources !

Liste non exhaustive...

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Nous demandons une véritable démocratie parlementaire, où les représentants du peuple aient plus de pouvoir que le président (république présidentielle instaurée par De Gaulle)


Voilà nos véritables revendications sans l'interprétation des journalistes et des politiques, ce n'est pas le gas-oil qui nous intéresse , c'est le pouvoir du peuple et il est dans la rue !

Signé : Un gilet jaune parmi tant d'autres !

mercredi 14 novembre 2018

Dans les rues de Béziers par Chantal Rajic

Statue de Pépézuc

Dans les rues de Béziers,
j'ai retrouvé Pépé.
Il avait bien changé,
proche de l'antiquité.
Il avait pris une autre identité.
Quelle idée !
Pourtant c'est pas son truc,
il dit s'appeler Pépézuc 
et porte une perruque ;
peut-être celle de Mémé
qui lui aurait achetée
dans les rues de Béziers.
Chantal Rajic est art-thérapeute, artiste, membre de l'ARAT.

lundi 17 septembre 2018

Antoine de Maximy, parrain de Human Road Kangoo Tour !


Lors de la "Fiesta Flipo" qui a eu lieu à Pézenas, j'ai eu l'honneur et l'avantage de rencontrer Antoine de Maximy.

"Depuis 15 ans, Antoine de Maximy s'invite chez des étrangers partout dans le monde pour les besoins de son émission de voyage diffusée sur France 5, J'irai dormir chez vous. Tout au long des neuf saisons que compte le show, on l'a ainsi vu, seul avec ses deux caméras, explorer la planète et tenter de créer des liens avec les locaux afin chaque soir d'avoir un endroit où passer la nuit."

Mais qui est vraiment Antoine de Maximy ?

Biographie

"Issu d'une famille assez bohème avec deux parents artistes peintres soixante-huitards vivant à Lyon puis à Paris, Antoine de Maximy est l'aîné de quatre enfants1. Il redouble sa troisième et arrête ses études de seconde au lycée dont il se fait exclure, puis rejoint les rangs du cinéma des armées comme ingénieur du son pendant trois ans et y fait ses premiers pas dans la réalisation2.

De 1980 à 1983, il travaille comme grand reporter pour CBS News. Il est notamment envoyé à Beyrouth pendant la guerre civile, y réalisant un documentaire sur les Casques Bleus. Il couvre aussi la guerre Iran-Irak. Il y découvre son attrait pour l'aventure, le reportage de guerre, le voyage vers l'inconnu3.

Mais voyager dans un pays sans le visiter ne lui plaît pas. En 1983, il est engagé par une équipe de la Guilde européenne du raid pour réaliser le film de leur expédition en Amazonie4. Après cette expérience, il se dirige alors vers le journalisme scientifique et animalier où aventure, plaisir, culture et fascination sont mêlés, apprenant au fil des expéditions tous les métiers, cadreur, monteur, réalisateur. En 1994, en collaboration avec le réalisateur Jean-Yves Collet et l'aéronaute Dany Cleyet-Marrel, il invente la cinébulle, une montgolfière motorisée biplace de 1 400 ou 1 500 m3, spécialement conçue pour faire des prises de vue aériennes et adoptée par Nicolas Hulot5.

Réalisateur, présentateur et cameraman, il s'est rendu dans quatre-vingts pays en vingt ans de carrière. Spécialiste des voyages à l'étranger — actualités internationales, films animaliers et expéditions scientifiques — il a réalisé ou présenté une trentaine de documentaires, dont Animal Zone, Zone sauvage, Un radeau sur la forêt, Les nouveaux mondes et Emmenez-moi sur France 2 (coproduite avec le Guide du Routard), ainsi que Au-delà des dunes et J'irai dormir chez vous sur France 53.

C'est grâce à cette dernière émission qu'il obtient un véritable succès populaire. Doté d'un harnais portatif maintenant une caméra, il voyage seul dans divers pays et se fait héberger chez de parfaits inconnus parmi les autochtones. Généralement, les émissions se déroulent bien avec de belles rencontres et des gens hospitaliers mais Antoine de Maximy a aussi connu plusieurs moments critiques lors de ses reportages : en Bolivie où une fausse policière membre d'un gang tente de lui voler son matériel (la police et les passants interviennent mais de Maximy est contraint de quitter le pays car le gang le recherche), à Sainte-Lucie aux Caraïbes où une fusillade éclate non loin du café où il se trouve, à Inujjuaq au Québec où un Inuit drogué lui casse sa caméra, au Vanuatu où les habitants d'un village l'ont obligé à leur donner de l'argent pour l'héberger ou encore aux États-Unis lorsqu'il devient complètement ivre lors du Burning Man6.

En septembre 2016, Il rejoint l'équipe de chroniqueurs de l'émission La Cour des Grands, animée par Alessandra Sublet, sur Europe1.


Le 6 mars 2018, il participe à « La Veillée », événement où des personnes relatent leurs histoires extraordinaires sur scène devant un public. Il y narre sa jeunesse en tant que journaliste à Beyrouth en temps de guerre7."

Engagements
En 2012, à l'occasion de l'élection présidentielle française, il réalise une vidéo en faveur de l'espéranto : Si j'étais président8.

Vie privée
Dans ses reportages filmés de J'irai dormir chez vous, le téléspectateur vit au plus près d'Antoine de Maximy, préservant sa vie privée hors-caméras. Il descend d'une famille noble du Dauphiné, anoblie par « Lettres de relief » de décembre 16549. Il est le compagnon de Cécile depuis plusieurs années10.

Émissions présentées ou réalisées
Les nouveaux mondes (8 juillet 1999)
J'irai dormir chez vous
Zones sauvages 
2002 : Madagascar, l'odyssée des cimes
Un péquin à Pékin 
Pendant les Jeux olympiques d'été de 2008, il réalise Un péquin à Pékin, composé des petits épisodes tournés à Pékin et diffusés sur France 2.
J'irai faire le tour chez vous 
Pendant le Tour de France 2009, il réalise J'irai faire le tour chez vous, où il va à la rencontre des gens sur la route du tour. Composé de petits épisodes, ils sont diffusés sur France 2 dans L'après tour.
Givré à Vancouver 
Pendant les Jeux olympiques d'hiver de Vancouver, il réalise Givré à Vancouver, où il visite avec sa caméra Vancouver sous toutes ses formes, allant à la rencontre autant des touristes que des Canadiens. Cette émission est diffusée tous les jours durant les JO dans l'émission Avancouver.

Filmographie
Réalisateur
1982 : Rencontre avec Chomo
1992 : Alexandra David-Néel : du Sikkim au Tibet interdit, réalisé avec Jeanne Mascolo de Filippis
1997 : Inlandsis, dans le secret des glaces
1998 : La Civilisation perdue du Rio La Venta
1998 : Voyage d'automne, la migration des cigognes
1999 : Neblina, montagnes des brumes, réalisé avec Henri Herré
2003 : Nyiragongo, un volcan dans la ville
2008 : J'irai dormir à Hollywood
2011 : J'irai dormir à Bollywood
2013 : J'irai dormir chez l'Homme qui brûle

Scénariste
2008 : J'irai dormir à Hollywood
2011 : J'irai dormir à Bollywood
2013 : J'irai dormir chez l'Homme qui brûle
Acteur
1991 : Août (Réalisateur : Henri Herré)
Figurant
2000 : Le signe du singe, épisode 2/3, Singe de feu (Réalisateur : Gérard Vienne)
Auteur
2008 : Avant d'aller dormir chez vous, éditions Florent Massot
2011 : J'irai dormir chez vous, Carnets d'un voyageur taquin, édition La Martiniere Styles

2015 : J'irai dormir chez vous : Tome 2, édition La Martiniere Styles

Auteur
2008 : Avant d'aller dormir chez vous, éditions Florent Massot
2011 : J'irai dormir chez vous, Carnets d'un voyageur taquin, édition La Martiniere Styles

2015 : J'irai dormir chez vous : Tome 2, édition La Martiniere Styles

Antoine s'est prêté de bonne grâce au jeu des questions.
Je lui ai demandé des détails techniques sur sa façon de filmer et je lui ai présenté mon invention le Human Road Kangoo Tour !
Ce fut un échange fort sympathique !

Jean-Louis Aguilar-Anton 
Kangooman

Sources : 
https://fr.wikipedia.org/wiki/Antoine_de_Maximy
https://www.programme-tv.net/news/tv/209294-jirai-dormir-chez-vous-et-plus-si-affinites-les-revelations-coquines-dantoine-de-maximy-video/

mercredi 12 septembre 2018

Coaching : conditionnement et recyclage


De passage à Bagnères de Bigorre, (ça me rappelle le sketch  de Coluche de passage à Cajarc dans le schmilblick), je me suis rendu à une conférence sur le Coaching !


Enfin, le bonheur à portée de mains !

Deux coachs professionnels déroulent leur pelote sur scène, la mise en scène est rodée.
PowerPoint, musique, micros personnels, vêtements chic mais pas trop !

C'est le Coaching cognitivo-comportemental !
Ce n'est pas de l'accompagnement, ce n'est pas du soin. 
Des techniciens qui vous remettent sur les rails pour être toujours plus performants.


Vous voulez changer de vie, n'attendez plus passez au coaching !
Vous vous sentez barbouillé, emmêlé, le coach  vous apprend à tricoter votre vie.


Décryptage de la méthode :
Vous tourner en rond enfermé dans votre zone de confort ce qui vous rend malheureux, le coach va vous déconditionner pour vous reconditionner à votre nouvelle vie.
Cette méthode n'est pas sans rappeler notre ami Pavlov et le béhaviorisme. 

Apprenez à voler de vos propres ailes !

Le coaching cognitivo-comportemental participe à plein à recycler de l'humain pour alimenter la société de consommation.
Vous trouverez également le coach de vie, le coach sportif, le coach de développement personnel et même le coach art-thérapeute, qui dit mieux ?



Bien sur , il n'est plus question de transfert ni de thérapie !
Le coaching est basé sur l'avoir, il n'est jamais question de l'être au monde du sujet.

Jean-Louis Aguilar-Anton 
Art-thérapeute

dimanche 10 juin 2018

Au risque de la rencontre ...vivre ensemble !

Loin des réseaux virtuels, que l'on nomme "sociaux", mais qui sont plus (pour moi) sur le versant de la sociopathie que de la sociabilité, j'essaye d'atteindre votre part d'humanité !

J'en veux pour preuve cette anecdote, plusieurs "amis facebook" de Béziers m'ont contacté, j'ai répondu favorablement à leur demande d'amis.
Et, puisque nous habitons à Béziers, dans la même ville, je leur ai proposé d'aller boire un café ensemble sur les allées.

Ma proposition me parait honnête et sans ambiguïté.
Cependant, aucune personne n'a accepté de boire un café avec moi, au contraire, j'ai senti de la méfiance, une "amie fb" m'a répondu "quelle est votre demande ?"
Ce a quoi j'ai répondu "aucune, c'est seulement une rencontre entre deux êtres humains !" 

Nous entendons partout les théoriciens du vivre ensemble, nous donner des leçons pour vivre et nous développer ensemble. Nous voyons bien que dans la réalité du quotidien, c'est autre chose!

Jean-Louis Griguer (Psychiatre et phénoménologue), nous explique que l'événement précède la rencontre pour parvenir à l'instant T ici et maintenant dans le présent.
De cette rencontre nous ne savons pas de quoi elle sera faite, qu'il n'y pas de programmation de son contenu, qu'elle participe de l'aventure humaine, de l’indicible, de l’inénarrable...de tout ce qui fait la beauté de l'Humanité.


Ma Kangoo a des fourmis dans les jantes, je reprend la route pour une nouvelle tournée de l'Human Road Kangoo Tour (HRKT).

"J'irai vous rencontrer et dormir chez vous !" 

Le programme Human Road Kangoo Tour se propose de valoriser la rencontre, la communication interpersonnelle, la convivialité et l'amitié.

La règle du jeu : accueillir un étranger (moi) chez vous pendant un jour et une nuit !

Tournée "Saison 3" 2018:
Le 2 juillet chez Simona Boni à Toulouse
Le 3 juillet chez Catherine Mirande à St Emilion
Le 4 juillet chez Christine et JB à Bordeaux (Cap Ferret)
Le 5 juillet chez Sébastien Routier à Rochefort
Le 6 juillet chez Nicole Amade à Sauternes
Le 7 et 8 juillet chez Cathy et Christian à Langon
le 9 juillet chez Anita Rojas à Toulouse


Jean-Louis Aguilar-Anton / Kangooman

mercredi 6 juin 2018

CELUI QUI SAIT par Chantal RAJIC

Celui qui sait


J’ai trouvé ma place
Comme une grâce
A travers un miroir
En feuilletant des pages d’histoire.
Dans le chaos et les morceaux
Il faisait noir comme le soir.
Le chemin fut long
Avançant à reculons
Comme un artiste déploie ses dons.
A l’ombre de la réparation
à la lumière de la compréhension
Comme une révélation.

Lui, il savait peut-être…
Et s’il connaissait la réponse à sa question ?
Peut-être voulait-il l’entendre autrement
Que de sa voix intérieure.

C’est à présent sur une autre fréquence
Qu’il peut entendre la délivrance.
Car parfois le monde des ténèbres
Éclaire aussi le monde des vivants.

Assez de souffrance,
Assez de dépendance,
Assez de défense.

L’arbre généalogique
Dans sa logique
Nous indique que si l’on remonte à la création
Nous sommes tous frères dans l’univers du père,
Et issus de la même mère terre.
Mais alors pourquoi tant de guerres ?

Dans les carcasses de l’émotion
Nous vibrons à l’unisson
l’intention de réparation
rediffusant la création.

Chantal

lundi 4 juin 2018

Human Road Kangoo Tour Deluxe*


Le drapeau noir flotte sur la marmite !
Le HRKT saison 3 se prépare, pour cela j'ai investi dans l'équipement avec une nouvelle Kangoo climatisée !

"J'irai vous rencontrer et dormir chez vous !" 

Le programme Human Road Kangoo Tour se propose de valoriser la rencontre, la communication interpersonnelle, la convivialité.

La règle du jeu : accueillir un étranger (moi) chez vous pendant un jour et une nuit !

De prime abord, ça a l'air d'une galéjade mais c'est beaucoup plus profond.

A la rencontre de l'autre et à la rencontre de soi, sans exclusions et sans peur de l'étrangeté de l'étranger. Une manière de partager l'amitié, l'hospitalité, la convivialité d'un repas loin de la virtualité du web.

HUMAN ROAD KANGOO TOUR, c'est ma façon de lutter contre la peur de l'Autre, de l'étranger, du migrant.
Je suis un migrant moi-même, arrivé en France en 1962, j'ai connu l’opprobre, l'humiliation, la stigmatisation des français.

Je suis né pendant la Guerre d’Algérie, je suis un enfant né dans la guerre et un réfugié, et inconsciemment  je me suis intéressé  très tôt à la transmission du traumatisme transgénérationnel et à l’émergence du processus créateur post-traumatique dans la création.

Ma mère Dolorès Anton Lopez est né à Saragosse,  a vécu à Alicante, mon oncle son frère est de Tarragone. Ma mère a connu la guerre d’Espagne et la guerre d’Algérie.
Mon père François Aguilar Lopez né à Oran a connu la 2e guerre mondiale et à participer à la guerre d’Algérie dans la Police Nationale.

Ayant reçu le traumatisme de plusieurs guerres en héritage, je me suis interrogé tout au long de ma vie sur la transmission du  traumatisme des parents à l’enfant (André Green), puis comment  dans le temps post-traumatique entre en jeu le processus créateur dans la création pour venir réparer les objets d’amour.
Par le travail de réparation qu'évoque Mélanie Klein, je suis devenu tour à tour artiste, infirmier, art-thérapeute, professeur d'art-thérapie pour arriver à la dernière mue celle de kangooman !

Ce que nous dit, Jean-Louis Griguer, c'est que l’événement précède la rencontre, cette rencontre avec l'autre n'aura pas forcément lieu !

Aujourd'hui, je reprend la route inlassablement pour venir vous rencontrer, prendre le risque de la rencontre, transmettre et partager l'hospitalité et le vivre ensemble.


J'ai abandonné toute velléité nationaliste pour devenir citoyen du monde.
La terre ne nous appartient pas, nous n'en sommes que les locataires !
Jean-Louis Aguilar-Anton / Kangooman.

*en référence à la Compagnie Royale Deluxe

vendredi 1 juin 2018

croâ ou coâ ? par Chantal RAJIC

Le printemps incitant à la promenade et à la capture d'images, j'ai croisé hier une grenouille au Jardin des Plantes.
Par chance, j'ai croisé également un corbeau.
Il n'en fallait pas plus pour rapprocher ces deux animaux et de leur image en faire une histoire.


Une grenouille prenait son bain dans une mare envasée.
Maître corbeau quant à lui
semblait la dédaigner.
Elle attendait la célèbre réplique :
"t'as d'beaux yeux tu sais"
mais sa voix elle ne l’entendit pas.
Elle ne parlait pas le croâ
de la langue d'air,
elle ne savait dire que coâ
dans la langue d'eau.


Croadair et Coadeau
ne dialoguent pas en vers
mais partagent souvent un ver
à la table du festin.
Vous reprendrez bien un verre ?
mais un verre de matin,
un verre de vétiver.
Même si leur monde est à l'envers
ils n'y voient que du vert
pour espérer demain...  


Textes et images de Chantal RAJIC

jeudi 24 mai 2018

Jean-Louis Aguilar-Anton, profesor al Master de Arte terapia integrativa de l'Universitat de Girona !

Fue un camino muy largo para mi llegar hasta esta cita. Antes de todo quiero dar las gracias a Miguel Izuel Curria, presidente del Grefart de Barcelona y director del Master de Arte terapia integrativa de l'Universitat de Girona. Sin olvidar a Isabel Carpio Juan y Montse Cortes por su hospitalidad y humanidad.

"No hay camino, el camino se hace andando ! Antonio Machado"

Muchos antes de mi, hicieron este camino iniciatico.
Federico Garcia Lorca, Albert Camus lo hicieron antes de acabar con un encuentro brutal con la muerte ! Pero, no conosco otro camino, es le camino de la reparacion y de la revelacion de si mismo.

Yo, nací durante la guerra de Argelia en Oran, soy un niño nacido en la guerra y un refugiado, y inconscientemente me interesaba muy temprano la transmisión del trauma transgeneracional y la aparición del proceso creativo en la creación en el tiempo post-traumatico.

La huida de Argelia, 19 mars 1962 !

Mi madre, Dolorès Antón Gómez nació en Zaragoza, y despues ha vivido en Alicante, mi tío hermano es de Tarragona, precisamente de Valls. Mi madre ha conocido dos guerras, la guerra de España y la guerra de Argelia.

Mi padre François Aguilar Lopez, nacido en Orán  ha conocido la 2ª Guerra Mundial y participo en la guerra de Argelia en la policía nacional francesa !

He recibido como herencia este trauma de mis padres, pensé toda mi vida en la transmisión del trauma de los padres al niño, y cómo en el tiempo postraumático entra en juego el proceso creador de creación para venir reparar y arreglar los objetos de amor.

Con Miguel IZUEL CURRIA actuando al Master de Arte terapia integrativa !

El viernes 18 de mayo, di mi curso sobre " La clínica como proposito a un dispositivo arte-terapéutico. Para un justo equilibrio entre arte y terapia."

Y el sabado 19 de mayo, fueron 3 talleres, pintura, taller de mediacion corporal y collage.

He empesado de fotografo, y despues de enfermero, pintor, arte terapeuta para llegar de profesor de arte-terapia...
Mi padre me preguntaba a menudo porque lo hacia, y yo no tenia ninguna respuesta !

En el taller de arte terapia del hospital psiquiatrico de Béziers durante 20 años !

Hoy, puedo responder a mi padre que ha muerto, que lo hago para una unica cosa : la reparacion !

Juan-Luis Aguilar-Anton / Arte terapeuta 

mardi 1 mai 2018

Séminaire intensif des art-thérapies

Stage intensif des art-thérapies aux Ateliers de la Scierie

A FONDAMENTE (Sud-Aveyron)
Chez Sophie Vigneau
artiste graveur plasticienne du livre et art thérapeute

Du jeudi 23 août au dimanche 26 août 2018



Les Ateliers de la Scierie à Fondamente

Stage + hébergement + petit déjeuner = 420 €
Possibilité de restauration sur place midi 8€ soir 12€
Chambres d’hôtes label accueil paysan
Jardin aménagé, baignade à la retenue d’eau
Ballades à proximité Roquefort, Abbaye de Sylvanès, Larzac…

Pensez l’art-thérapie autrement !
Avec Jean-Louis Aguilar / Art-thérapeute

1e partie (2 jours)
« Médiations thérapeutiques et/ou psychothérapies médiatisées»

Formation ouverte aux professionnels de la santé, du social et du médico-social, de la thérapie et de l’art, aux étudiants en art-thérapie et en psychologie… et aussi aux art-thérapeutes, aux danse-thérapeutes, aux dramathérapeutes, aux musicothérapeutes.

Jeudi 23 août 2018
9h30 Accueil café

1. Histoire de l’Art-thérapie :
Regards croisés avec l’art des fous, l’art brut, l’art psychopathologique, la psychopathologie de l’expression… et l’art-thérapie.
Différences entre folie, maladies mentales et normalité.

2. Présentation de productions de patients de mon atelier d’art-thérapie

12h30-13h30 Pause-repas tiré du sac ou casse-croute 8€

13h30-17h30
3. Atelier de peinture en expression libre + débriefing 

4. Cours : 1e partie
« De la clinique à la mise en place d’un dispositif art-thérapeutique »
Utilisation des médiations thérapeutiques, artistiques et culturelles.
Eclairage sémantique sur les concepts :
De création et de créativité, d’esthétique et de beau, d’œuvre d’art et de production de l’intime…

Vendredi 24 août 2018
9h30 Accueil café

5. Atelier modelage en expression libre + débriefing

6. Film « Plante vivace » + conférence
La Création comme suppléance à l’absence du père : « Gaston Chaissac, l’homme-orchestre ! »
Illustration du concept de la forclusion du Nom du Père de Lacan.

12h30-13h30 Pause repas tiré du sac ou casse-croute 8€

13h30-17h30
7. Atelier collage en expression libre + débriefing

8. Cours : 2e partie

9. Bilan des 2 journées


L’Atelier de gravure de Sophie Vigneau

2e partie (2 jours)
« La Médiation corporelle »
« La question du corps en psychothérapie »


Samedi 25 août 2018
9h30 Accueil café

1. 2 vignettes cliniques sur ma prise en charge de patients en ateliers thérapeutiques

2. Atelier d’écoute musicale + débriefing

12h30 à 13h30 Pause-repas (tiré du sac) ou casse-croute 8€

13h30-17h30
3. La question de l’impasse thérapeutique

4. Introduction à la psychosomatique relationnelle

5. Atelier de relaxation + débriefing

Dimanche 26 août 2018
9h30 Accueil café

1. Film « Les étonnantes vertus de la Méditation »

2. Atelier de méditation + débriefing
Marche méditative + débriefing

12h30 à 13h30 Pause repas (tiré du sac) ou casse-croute 8€

13h30-17h30
3. Méditation laïque, bouddhiste, de pleine conscience, de pleine présence et spiritualité laïque.

4. Apports des neurosciences : l’épigénétique

5. Atelier de relation d’aide et de relaxation + débriefing
L’apport de Carl Rogers dans la psychothérapie humaniste
Techniques de relaxation, de cohérence cardiaque et de méditation

6. Bilan des 4 journées

Formateur : Jean-Louis Aguilar 

art-thérapeute spécialisé en médiations thérapeutiques, artistiques, culturelles et corporelles 

DU « Psychiatrie, Psychothérapies médiatisées et Créativité » Faculté de Médecine Paul                      Sabatier de Toulouse

Certificat de Praticien en Art-thérapie / INFIPP de Lyon

Certificat de Praticien en médiation corporelle et relaxation
        CRESMEP (Centre de psychosomatique relationnelle de Montpellier)

DU de « Médecine, Méditation et Neurosciences » Faculté de Médecine de Strasbourg

Enseignant-vacataire au CHU Purpan de Toulouse
        DU « Psychiatrie, Psychothérapies médiatisées et Art-thérapie » dirigé par le Dr François                    Granier

Enseignant-vacataire Université Jean Jaurès de Toulouse
        DU « Art-thérapies » dirigé par le Pr. Jean-Luc Sudres
        Membre de l’équipe pédagogique du DU Art-thérapies du Pr Sudres

Chargé de cours et chercheur en Art-thérapie au CEPPA
        Centre Européen de Psychologie clinique et de Psychanalyse dirigé par le Dr Fred Fliege à                  Frontignan

Enseignant-vacataire à Université de Gérone (Espagne)
        Master d’Arteterapia dirigé par Miguel Izuel / Psychanalyste et art-thérapeute

Membre de la SIPE-AT

Président de l’Association de Recherche en Art et Thérapie (ARAT)

Directeur de Recherche Associative au CSRA 
         (Comité Scientifique de Recherche en Art-thérapie de l’ARAT)

Activités bénévoles dans une association de Béziers « Béziers Plaisir » avec deux ateliers sur la          créativité (gratuits et ouverts à tous) :
        « Développement personnel et créativité » et 
        « Méditation de pleine présence » 

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Horaires de la formation de 9h30 à 12h30 et 13h30 à 17h30 

Lieu : Les Ateliers de la Scierie chez Sophie Vigneau (0628650013)
Route de Saint-Beaulize
12540 FONDAMENTE

Inscriptions et informations auprès de :

JLAA / Art-thérapies / Formation
jlaa.artiste@gmail.com
Port. 0683595110

Tarifs :
420€ stage+ hébergement +petit déjeuner
Les inscriptions ne sont effectives qu’à réception de votre bulletin d’inscription accompagné de votre chèque avant le 15 août 2018.
Votre chèque ne sera encaissé que lorsque vous aurez effectué la formation, en cas d’annulation il ne sera pas encaissé.

Bulletin d’inscription :
Nom :
Prénom :
Adresse :

Mail :
Téléphone :

Bulletin d’inscription + chèque à adresser à:
Jean-Louis Aguilar (0683595110)
9, rue Julien Imbert 
34500 Béziers

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Matériels nécessaires pour le stage d’art-thérapie : 
le matériel est fourni par JLAA / Art-thérapies/ Formation

1 vidéoprojecteur
1 écran de projection

Atelier peinture et dessin :
Feuilles de papier canson
Peintures et pinceaux
Crayons, pastels, aquarelles…

Atelier modelage :
Terre, outils de modelage…

Atelier collage :
Vieux magazines pour le découpage
Ciseaux, colle bâtons
Feuilles de papiers canson

Atelier de Médiation corporelle :
Apportez votre tapis de sol pour la relaxation, coussins, zafou…

JLAA / ART-THERAPIES / FORMATION
Enseignant-Art-thérapeute-auto-entrepreneur
N° de Siret 82969583200016


Association ARAT N° de Siret 53384433800012
N° de prestataire de formation 76340938134 La DIRECCTE OCCITANIE

mercredi 18 avril 2018

4 modules de formation d’intervenants en art-thérapie

JLAA / Art-thérapies / Formation vous propose

4 modules de formation d’intervenants en art-thérapie

Pensez l’art-thérapie autrement !



Formations ouvertes aux professionnels de la santé, du social et du médico-social, de la thérapie et de l’art, aux étudiants en art-thérapie et en psychologie… et aussi aux art-thérapeutes, aux danse-thérapeutes, aux Drama-thérapeutes, aux musicothérapeutes.

Les art-thérapies englobent les médiums les plus divers comme ceux des arts plastiques et du corps permettant des ponts avec la musicothérapie, la danse-thérapie, la Drama-thérapie ou théâtro-thérapie.

Il n’y a pas de clivages ni d’exclusions dans ma façon de penser autrement l’art-thérapie !

Bien au contraire, il s’agit d’inclure les différents référentiels de formations mais aussi de penser l’art-thérapie comme un carrefour  (un syncrétisme) ou se croisent la psychologie, la psychanalyse, la psychiatrie, les psychothérapies (humanistes, corporelles, systémiques, cognitivo-comportementales), l’ethnopsychiatrie, l’anthropologie, la philosophie, la phénoménologie, la psychopathologie de l’expression…

Il s’agit de proposer différents modules de 2 jours à des intervenants en art-thérapie ou à des personnes en réflexion sur leur devenir professionnel.

MODULE 1
Médiations thérapeutiques et/ou psychothérapies médiatisées
Dates : 2 et 3 juin 2018


MODULE 2
Les Médiations artistiques et culturelles 
Dates : 20 et 21 octobre 2018


MODULE 3
Les médiations corporelles
« La question du corps en psychothérapie » 
Dates : 8 et 9 décembre 2018


MODULE 4
Mises en pratique
« La stratégie du détour en art-thérapie »
Dates : 19 et 20 janvier 2019



Inscriptions et informations auprès de :
Jean-Louis AGUILAR
JLAA / Art-thérapies / Formation
jlaa.artiste@gmail.com
Port. 0683595110

Tarifs : par module de 2 jours
350€ Formation continue (institutions)
180€ individuel 
100€ demandeur d’emploi (sur justificatifs)

Les inscriptions ne sont effectives qu’à réception de votre bulletin d’inscription accompagné de votre chèque.
Votre chèque ne sera encaissé que lorsque vous aurez effectué la formation, en cas d’annulation il ne sera pas encaissé.

Bulletin d’inscription :
Nom :
Prénom :
Adresse :

Mail :
Téléphone :

Bulletin d’inscription et chèque à :
Jean-Louis Aguilar
9, rue Julien Imbert 
34500 Béziers

JLAA / ART-THERAPIES / FORMATION
Enseignant-Art-thérapeute-auto-entrepreneur
N° de Siret 82969583200016

Association ARAT N° de Siret 53384433800012
N° de prestataire de formation 76340938134 LA DIRECCTE OCCITANIE

mardi 27 mars 2018

Formation d'intervenants en art-thérapie

JLAA / Art-thérapies / Formation vous propose

Une formation d’intervenants en art-thérapie

 « Médiations thérapeutiques et/ou psychothérapies médiatisées»

Formation ouverte aux professionnels de la santé, du social et du médico-social, de la thérapie et de l’art, aux étudiants en art-thérapie et en psychologie…


Pensez l’art-thérapie autrement !

Samedi 2 juin 2018

9h30 Accueil café

1. Histoire de l’Art-thérapie :
Regards croisés avec l’art des fous, l’art brut, l’art psychopathologique, la psychopathologie de l’expression… et l’art-thérapie.
Différences entre folie, maladies mentales et normalité.

2. Présentation de productions de patients de mon atelier d’art-thérapie

12h 30 Pause-repas tiré du sac

13h30
3. Atelier de peinture en expression libre + débriefing

4. Cours : 1e partie
« De la clinique à la mise en place d’un dispositif art-thérapeutique »
Utilisation de la médiation thérapeutique, artistique et culturelle.
Eclairage sémantique sur les concepts :
De création et de créativité, d’esthétique et de beau, d’œuvre d’art et de production de l’intime…

Dimanche 3 juin 2018

9h30 Accueil café

5. Atelier modelage en expression libre + débriefing

6. Film « Plante vivace » + conférence
La Création comme suppléance à l’absence du père :
« Gaston Chaissac, l’homme-orchestre ! »

12h30 Pause repas tiré du sac

13h30
7. Atelier collage en expression libre + débriefing

8. Cours : 2e partie

9. Bilan de fin de stage

Formateur : Jean-Louis Aguilar

Art-thérapeute spécialisé en médiations thérapeutiques, artistiques, culturelles et corporelles
DU « Psychiatrie, Psychothérapies médiatisées et Créativité » / Toulouse
Certificat de Praticien en Art-thérapie / INFIPP de Lyon
Certificat de Praticien en médiation corporelle et relaxation
        CRESMEP (Centre de psychosomatique relationnelle de Montpellier)
DU de « Médecine, Méditation et Neurosciences » / Strasbourg

Enseignant-vacataire au CHU Purpan de Toulouse
        DU « Psychiatrie, Psychothérapies médiatisées et Art-thérapie »
        Dirigé par le Dr François Granier

Enseignant-vacataire Université Jean Jaurès de Toulouse
        DU « Art-thérapies » dirigé par le Pr. Jean-Luc Sudres
        Membre de l’équipe pédagogique du DU Art-thérapies du Pr Sudres

Chargé de cours et chercheur en Art-thérapie au CEPPA
        Centre Européen de Psychologie clinique et de Psychanalyse
        Dirigé par le Dr Fred Fliege à Frontignan

Enseignant-vacataire à Université de Gérone (Espagne)
        Master d’Arteterapia
        Dirigé par Miguel Izuel

Membre de la SIPE-AT

Président de l’Association de Recherche en Art et Thérapie (ARAT)

Directeur de Recherche Associative au CSRA
        (Comité Scientifique de Recherche en Art-thérapie de l’ARAT)

Activités bénévoles dans une association de Béziers « Béziers Plaisir » avec deux ateliers sur la          créativité par le « Développement personnel et créativité » et « Méditation de pleine présence »          (gratuit et ouvert à tous).


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Horaires de la formation de 9h30 à 12h30 et 13h30 à 17h30 (14 heures)

Lieu : Béziers

Inscriptions et informations auprès de :
JLAA / Art-thérapies / Formation
jlaa.artiste@gmail.com
Port . 0683595110

Tarifs :
350€ Formation continue (institutions)
180€ individuel
100€ demandeur d’emploi (sur justificatifs)

Les inscriptions ne sont effectives qu’à réception de votre bulletin d’inscription accompagné de votre chèque avant le 12 mai 2018.
Votre chèque ne sera encaissé que lorsque vous aurez effectué la formation, en cas d’annulation il ne sera pas encaissé.

Bulletin d’inscription :
Nom :
Prénom :
Adresse :

Mail :
Téléphone :

Bulletin d’inscription et chèque à :
Jean-Louis Aguilar
9, rue Julien Imbert
34500 Béziers

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vendredi 9 mars 2018

Maltraitance à l'hôpital psychiatrique : que dit le rapport ?

Adeline Hazan, contrôleuse générale des lieux de privation de liberté, a rédigé le rapport qui dénonce les conditions d'hospitalisation indignes du pôle psychiatrie du CHU de Saint-Etienne. Elle répond à nos questions.


Adeline Hazan, Contrôleure générale des lieux de privation de liberté

Le rapport que vous publiez aujourd'hui est accablant. Quels faits dénonce-t-il exactement ?
Adeline Hazan, contrôleuse générale des lieux de privation de liberté : "Nous avons constaté des atteintes aux droits des patients absolument dramatiques. Au sein du service général des urgences, certaines personnes venues librement se faire soigner, se sont retrouvées sur des brancards, attachées pendant plusieurs jours, sans pouvoir se laver, ni même aller aux toilettes. Ces mesures sont totalement illégales et attentatoires aux droits fondamentaux. Et dans le service de psychiatrie, des personnes étaient isolées, et attachées à leur lit sans que leur état d'agitation ne le justifie."

Le CHU de Saint-Etienne n'est malheureusement pas un cas isolé ?
Adeline Hazan : "Nous avons observé ce type de mesures d'isolement et de contention dans d'autres établissements. Mais le cas du CHU de Saint-Etienne est particulièrement dramatique. Depuis deux ans, j'ai décidé d'utiliser une procédure spéciale : la « recommandation en urgence ». Autrement dit, je n’ai pas attendu la procédure habituelle consistant à rédiger un rapport pendant six ou huit mois. J'ai décidé d'alerter immédiatement la ministre de la Santé pour qu'elle prenne des mesures. Malheureusement, à ce jour, la ministre n'a toujours pas répondu. En revanche, je tiens à le signaler, l'établissement, le CHU de Saint-Etienne, a immédiatement réagi. Il n'a pas minimisé nos constats et a pris des mesures pour interdire certaines pratiques."

Comment expliquer ces dérives ? Etaient-elles liées à un manque de moyens ?
Adeline Hazan : "Pas nécessairement. Il existait quelques postes vacants, mais seulement quatre. Ce n’est pas du tout dramatique par rapport aux autres établissements. Il s’agit plutôt d’une culture, d’une habitude, où les médecins ne s’apercoivent plus, que ces situations sont tout aussi inacceptables qu’illégales."

Que faire pour que ces pratiques cessent ?
Adeline Hazan : "Il faut surtout changer la culture d’établissement. La banalisation de ces pratiques me surprend énormément. Les patients ne sont pas considérés comme des sujets de droit mais comme des objets de soins. Bien sûr, ils sont là pour être soignés, mais ils ont des droits. La culture de l’enfermement règne malheureusement dans nos sociétés. Que ce soit dans les hôpitaux, dans les centres de détention ou dans les prisons, l’enfermement est banalisé. Or, enfermer quelqu’un n’est jamais anodin."

Doit-on également former les praticiens ?
Adeline Hazan : "Effectivement. Le diplôme d’infirmier psychiatrique a été supprimé il y a une quinzaine d'années. C’est une très grave erreur. À défaut de le rétablir, il faut au moins former les soignants. Je vois par exemple de très jeunes infirmiers arriver dans les hôpitaux psychiatriques. Ils n’ont aucune expérience, aucune connaissance, ils sont formés sur le tas... C’est inacceptable."

Vous êtes également contrôleur général dans les prisons et les maisons d'arrêt. Sont-elles sujettes à ce type de dérives ?
Adeline Hazan : "Non. En revanche, il y a dans les prisons des défauts d’accès aux soins. Les détenus attendent parfois très longtemps pour pouvoir se faire soigner. Certains sont atteints de pathologies extrêmement graves, comme des cancers, et attendent plusieurs mois pour obtenir ne serait-ce qu’un examen. À cause du manque de moyens bien sûr, mais également de la surpopulation carcérale."

Sources :
https://www.francetvinfo.fr/sante/patient/droits-et-demarches/maltraitance-a-l-hopital-psychiatrique-que-dit-le-rapport_2635360.html#xtor=CS2-765




jeudi 8 mars 2018

Journée des femmes: la véritable histoire du 8 mars par Stéphanie Arc


 BETTMANN/CORBIS

La manifestation new-yorkaise censée être à l’origine de la Journée internationale des femmes n’a... jamais eu lieu ! Retour sur ce mythe démasqué par l’historienne Françoise Picq.
La Journée internationale des femmes fête ses 104 ans ! Ses origines reposent en réalité sur un mythe. Françoise Picq, historienne, l’a « démasqué » dès la fin des années 1970 : « À l’époque, toute la presse militante, du PCF et de la CGT, comme celle des “groupes femmes” 1 du Mouvement de libération des femmes, relayée par les quotidiens nationaux, écrivait que la Journée des femmes commémorait le 8 mars 1857, jour de manifestation des couturières à New York. » Or cet événement n’a jamais eu lieu ! « Les journaux américains de 1857, par exemple, n’en ont jamais fait mention », indique Françoise Picq. Et il n’est même pas évoqué par celles qui ont pris l’initiative de la Journée internationale des femmes : les dirigeantes du mouvement féminin socialiste international.

Une itiniative du mouvement socialiste
Car c’est un fait, « c’est en août 1910, à la IIe conférence internationale des femmes socialistes, à Copenhague, à l’initiative de Clara Zetkin, militante allemande, qu’a été prise la décision de la célébrer », ajoute l’historienne. La date du 8 mars n’est pas avancée, mais le principe est admis : mobiliser les femmes « en accord avec les organisations politiques et syndicales du prolétariat dotées de la conscience de classe ». La Journée des femmes est donc l’initiative du mouvement socialiste et non du mouvement féministe pourtant très actif à l’époque. « C’est justement pour contrecarrer l’influence des groupes féministes sur les femmes du peuple que Clara Zetkin propose cette journée, précise Françoise Picq. Elle rejetait en effet l’alliance avec les “féministes de la bourgeoisie”. »

 AKG-IMAGES

Quelques années plus tard, la tradition socialiste de la Journée internationale des femmes subit le contrecoup du schisme ouvrier lié à la IIIe Internationale. C’est en Russie que la Journée des femmes connaît son regain : en 1913 et en 1914, la Journée internationale des ouvrières y est célébrée, puis le 8 mars 1917 ont lieu, à Petrograd (aujourd’hui Saint-Pétersbourg), des manifestations d’ouvrières que les bolcheviques désignent comme le premier jour de la révolution russe. Une nouvelle tradition est instaurée : le 8 Mars sera dès lors l’occasion pour les partis communistes de mobiliser les femmes. Après 1945, la Journée des femmes est officiellement célébrée dans tous les pays socialistes (où elle s’apparente à la fête des mères !).

Les couturières new-yorkaises, un mythe né en 1955
Mais alors comment est né le mythe des couturières new-yorkaises ? « C’est en 1955, dans le journal L’Humanité, que la manifestation du 8 mars 1857 est citée pour la première fois », explique Françoise Picq. Et l’origine légendaire, relayée chaque année dans la presse, prend le pas sur la réalité. Pourquoi détacher le 8 Mars de son histoire soviétique ? « Selon l’une de mes hypothèses, poursuit-elle, Madeleine Colin, qui dirige alors la CGT, veut l’affranchir de la prédominance de l’UFF2 et du parti communiste pour qu’elle suive ses propres mots d’ordre lors du 8 Mars. La célébration communiste de la Journée des femmes était devenue trop traditionnelle et réactionnaire à son goût… » Et c’est pourquoi, en se référant aux ouvrières américaines, elle la présente sous un nouveau jour : celui de la lutte des femmes travailleuses…

Sources : https://lejournal.cnrs.fr/articles/journee-des-femmes-la-veritable-histoire-du-8-mars