mardi 31 décembre 2019

Le sexe du Père Noël enfin révélé par le Professeur Jean-Pierre RUPIN !

Jean-Pierre RUPIN est Professeur d'astro-anthropologie appliquée, membre honoris causa de l'Université de Baden-Baden, Professeur émérite de génétique rupestre, membre du think tank des art-thérapeutes énervés.....

Spécimen de Père Noël adulte

7 Pères Noël enfants ?

Jean-Pierre Rupin travaille comme un photographe animalier, c'est à dire qu'il shoote le Père Noël dans son état naturel. Vous comprendrez qu'il lui a fallu plus de 30 ans pour vous présentez les résultat de ses recherches.

La question centrale de sa recherche est la suivante : 
Comment le Père Noël fait-il pour se reproduire ?
Y a-t-il une Mère Noëlle à ses côtés, auquel cas le Père Noël est hétéro !
Mais les rares fois où il est possible d'approcher le Père Noël, il est seul ou en bande de Pères Noël mâles !
Est-il homo et fait-il appel à la GPA pour se reproduire ? 

Quel est donc le sexe du Père Noël ?
C'est la question qui taraude Jean-Pierre Rupin depuis son enfance.

Père Noël intra-muros

A partir de traces génétiques récoltées sur les murs où le Père Noël c'est accroché, JPR a enfin  résolu cette énigme.

Père Noël extra-muros

La vérité dépasse souvent la fiction, et c'est bien le cas dans l'affaire qui nous intéresse.
Jean-Pierre Rupin a travaillé avec les équipes de l'INSERM  et du CNRS, les résultats sont sans appel : le Père Noël est hermaphrodite !!!

Pères Noël en bandes organisées !

La recherche continue sur la piste de la parthénogenèse, tout n'a pas été dit sur le Père Noël !

Un grand merci à Jean-Pierre Rupin qui nous a permis de divulguer l'aboutissement de ses recherches.

jeudi 26 décembre 2019

Caisse de grève cheminots SUD-Rail en Languedoc-Roussillon

Bonjour à tous,

Les cheminots de la SNCF sont en grève depuis le 5 décembre, et les militants/adhérents SUD-Rail sont en première ligne dès le début du conflit. Au niveau de la région "ex Languedoc-Roussillon", notre mobilisation est forte depuis le premier jour, avec des taux de grévistes allant de 60 à 95% chez les conducteurs, alors que la Direction SNCF annonce que 70% d'entre eux ne seront pas directement touchés par cette réforme. Après 15 jours de grève, les conducteurs TER en Languedoc-Roussillon sont encore grévistes à hauteur de 90%, mais d'autres secteurs à la SNCF se mobilisent fortement également, que ce soit chez les contrôleurs avec 50% de grévistes ou encore à l'EIC (postes d'aiguillages et gestion des circulations) avec plus de 30%. Peu de trains circulent sur la région grâce à cette mobilisation.

Un grand nombre de militants SUD-Rail et de cheminots est entré dans ce conflit contre la réforme des retraites en grève illimitée. Notre combat semble soutenu par un grand nombre de français et ce sont les cheminots qui mènent le combat grâce à leur mobilisation quotidienne. Cette grève va avoir des conséquences financières importes pour chacun d'eux, conséquences que chacun assume bien entendu, et c'est dans ce cadre particulier que nous faisons appel à la solidarité de tous et toutes.

Pour que notre mouvement de protestation puisse durer dans les jours et semaines à venir, pour qu'il puisse être un mouvement gagnant, nous avons besoin que tout ceux qui le peuvent nous soutiennent au travers de notre caisse de grève.

Caisse de grève SUD-Rail LR: www.lepotsolidaire.fr/pot/fabtulpu
ou par chèque (ordre SUD-Rail) à SUD-Rail - 175 rue Joseph Cugnot - 34070 Montpellier

Nous dénonçons tous une réforme du système de retraite qui est injuste pour tout le monde. Même si le gouvernement a mis une clause qui évitera à une partie des cheminots d'être pas ou peu impactés (la Direction SNCF annonce 60%), ceux qui sont dans cette configuration ne peuvent pas accepter que leurs collègues qui font le même métier qu'eux n'aient pas les mêmes conditions de départ en retraite. Cette réforme va impacter la vie de nos enfants, de nos petits enfants et des générations à venir... Nous ne sommes pas prêt a accepter de leur laisser un système plus défavorable que celui que nous aurions connu nous, nos parents, nos grands-parents !

Un nouveau système de retraite qui ne sera pas plus équitable, avec lequel il faudra travailler plus longtemps et qui donnera des pensions revues à la baisse. Le but de ce système à point, c'est de faire s'enrichir encore une fois les plus riches au travers des fonds de pensions... est-ce bien l'avenir que nous voulons léguer ? Pour notre syndicat SUD-Rail, ce n'est pas possible. Cela n'est pas possible, car en plus il existe d'autres solutions pour résoudre le problème de financement du système de retraite actuel.

Le système de retraite d'aujourd'hui et la réforme Macron:

Aujourd’hui, 1 travailleur produit l’équivalent de 5 travailleurs en 1950, mais reste seul à cotiser. Le gain de production n’étant pas soumis à cotisations alimente les revenus du capital.

Le PIB par habitant a pourtant bien augmenté (x 4,7) en 70 ans, c'est donc que plus de richesse est créée, pour autant comme tu le fais remarquer, le chômage reste très important.

On en conclue que la richesse du travail n'est pas réutilisée pour créer du travail, mais pour s'enrichir...

1950 : 4 cotisants pour 1 retraité (PIB/habitant = 6 715 €)
Aujourd’hui : 1,4 cotisants pour 1 retraité (PIB/Habitant = 31 740 €)

Aujourd'hui ce sont les jeunes qui sont le plus touchés par le chômage: la tranche "15 à 24 ans" a 20% de chômeurs (contre 7% pour les autres tranches).

D'un autre côté, sur la tranche d'âge "60 à 64 ans", c'est seulement 33% des personnes qui travaillent, quand aux autres, c'est soit du chômage, RSA, inactivité pour maladie, inactivité avec fin des droits (plus de chômage ni RSA), congé de fin de carrière (CPA), ...

La réforme consiste a décaler l'âge de la retraite pour tous à 64 ans, pour avoir une retraite complète. L'autre point majeur de la réforme c'est le passage au système à points, qui va mécaniquement entrainer une baisse des pensions: seul le gouvernement certifie que ça ne sera pas le cas, mais toutes les simulations réalisées démontrent le contraire.

Décaler l'âge de départ à la retraite:

- tout le monde va devoir travailler quelques années de plus, quand nos jeunes n'ont pas assez d'emplois disponibles... c'est le serpent qui se mord la queue... si on leur laisse pas la place libre... ils pourront pas trouver du travail !

- conséquence du point précédent... (certains) jeunes commencent à travailler plus tard, soit à cause des études, mais aussi car ils ne trouvent que des stages et pas de vrais emplois, ou alors des missions qui ne durent pas, du coup... ils seront obligés mécaniquement de travailler plus tard... pour avoir "les conditions d'une retraite complète" (et là aussi, le gouvernement n'a rien détaillé de ce qu'il entend par "condition pour une retraite complète"... travailler minimum 43 ans ?).

- un grand nombre de personnes sont au bout du rouleau dans leur emploi, une fois passés les 55 ans, les raisons sont multiples et variées (et pour ceux qui ont des emplois peu fatiguant, le système de retraite actuel leur permet de pouvoir poursuivre leur carrière au delà de l'âge d'ouverture des droits à pension)

- passé 55 ans, c'est bien plus compliqué de trouver un travail pour la majorité des gens (sauf pour ceux qui sont des spécialistes dans leur domaine d'activité et qui forcément n'ont pas de soucis)

- les 2 points précédents ont une conséquence combinée: les "séniors" en inactivité ont alors des revenus moindres, ce qui va pénaliser le montant de leur retraite par la suite...

Système de points:

En gros c'est un gâteau (variable car il sera maximum de 14% du PIB) a se partager entre tout les retraités, sauf qu'à l'avenir il y aura plus de retraités donc des parts de gâteau plus petites...

De plus toute la carrière sera prise en compte pour le calcul du montant de la pension, donc ça veut dire que la moindre inactivité ou baisse/fluctuation de salaire va être pénalisante (le gouvernement nous dit que non, mais dans sa présentation, Edouardo n'a rien dit de précis et concret à ce sujet...).

Les simulations réalisées donnent des pensions de 20 à 30% plus faibles qu'avec le système actuel... en partant à 64 ans ! pour ceux qui voudront partir à 62 ans (comme prévu dans la réforme), ils auront alors un malus (5% par an) de 10%.

Quand aux 1000€ de pension minimum... actuellement c'est 970€. Les 1000€ ce sera pour une carrière complète... sinon c'est moins bien sur...). Au final une augmentation de 30€... Et de nos jours, peut-on vivre correctement avec 1000€ ??

Le gouvernement oublie de parler de ceux qui n'ont justement pas eu de carrières complètes (arrêt de travail pour élever les enfants, travail à temps partiel, changements d'entreprises avec pauses entre 2 jobs, etc...) et souvent avec des salaires juste au dessus du SMIC... ces personnes là vont toucher des pensions de misère, encore plus misérables qu'actuellement.

Les conséquences globales de cette réforme, c'est qu'il va y avoir une multitude cas personnels. Pour tous, ce sera une baisse du montant de retraite, que l'on parte à 62 ans ou 64 ans. Du coup, ce qu'il va se passer, c'est que les gens vont devoir capitaliser dans des fonds de retraite. Sauf qu'il y a ceux qui peuvent, et ceux qui peuvent pas. Il y aura aussi les entreprises les plus généreuses ou celles qui peuvent (ce qui ne sera pas le cas de la plupart des PME) qui vont payer directement ces fonds de pensions à leurs salariés (pour les attirer ou les faire rester). Et les fonds de pensions... c'est de l'argent stocké pour faire de l'argent... et dont ceux qui en tirent le plus de bénéfices sont les actionnaires, encore une fois.

Le système actuel n'est pas parfait, mais nous avons de propositions pour le rendre viable et plus équitable pour tous, sans tirer tout le monde vers le bas encore une fois.

Propositions de SUD-Rail Languedoc-Roussillon 

Il faut garder notre système actuel. Le but c'est de trouver entre 8 et 17 milliards d'euros (déficit évalué pour 2025).

Où trouver l'argent:

- Fin de la délocalisation fiscale des entreprises afin de payer moins d'impôts en France
- Suppression du CICE pour les entreprises dont les effectifs baissent
- Création de cotisations sur les revenus du capital (pour récupérer l’évasion fiscale: 230
milliards d’euros)
- Création d’une cotisation sur l'automatisation et l’intelligence artificielle (deep learning...)
- Augmentation des salaires, par exemple : +1% génèrerait environ 2,5 milliards d’euros de
cotisations supplémentaires
- Fin de l’inégalité salariale entre hommes et femmes: l’augmentation du salaire des femmes
entrainant plus d’argent cotisé

Améliorations:
- Véritable prise en compte de la pénibilité
- Prise en compte de l'âge moyen en bonne santé de la population pour l'âge de départ en retraite (actuellement 64 ans chez les femmes, 63 ans chez les hommes) = baisser l'âge d'ouverture des droits et non l'augmenter = baisse du chômage des jeunes
- Congés maternité, congés parental considérés comme travaillés (cotisés)
- Maintien des pensions de réversion


Merci d'avance à tous ceux qui contribueront à notre caisse de grève.

N'hésitez pas à partager notre courrier à votre entourage.

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SUD-Rail Montpellier
175 rue Joseph Cugnot, 34070 Montpellier
Tèl: 04.67.58.28.62
Mail: sudrailmontpellier@gmail.com

mercredi 6 novembre 2019

L'imposture du bien-être au travail !


Faites du sport, soyez heureux, en bonne santé ... et on vous recrutera !

Elvire Daudigny del Fondo
Owner, audigny consulting and Human Resources Consultant

Étonnant phénomène auquel nous sommes de plus en plus confrontés ; les entreprises saupoudrent les organisations de messages bienveillants, d'incitations à être joyeux, à partager des activités, séminaires hors temps de travail, évènements en tout genre, à faire du sport... et brandissent l’étendard du bienêtre au travail à chaque respiration sur les réseaux sociaux. Il nous est quotidiennement fait l'injonction d'être heureux... pour bien travailler! Quand cesserons-nous l’imposture ?

Vous avez même pu lire sur ce site le post d’un coach qui conseillait aux managers « de proposer à ses salariés de pratiquer plus d’activités sportives pour être joyeux (…) car ils seraient plus productifs ! ».  La messe est dite ! A quand des préconisations sur notre activité sexuelle ? Cela nous guette ! Le petit livre rose du salarié parfait !


Une cliente s'agaçait dernièrement parce que je n'avais pas assez "creusé" lors d’un entretien la vie privée d'un candidat que j'avais recruté. J'étais passée à côté d'une dépression qu'il avait faite après un divorce il y a 3 ans. Le monsieur s'étant épanché autour d'un repas, elle s'indignait de mon investigation trop légère à ses yeux.

Untel a été malade, unetelle sort d’un deuil éprouvant ... alors on hésite. Mais où va-t-on ? A l'heure où nos législateurs travaillent d’arrachepied à protéger nos données personnelles, on demande aux cabinets de devenir détective privé ou psychiatre, et de sélectionner des candidats telles des tomates : "calibrés", du même rouge, de la même taille, sans défaut apparent.


Pour l'avoir expérimenté, je tiens à vous faire part de mon intime conviction ; celui qui est passé par une traversée du désert et se relève à tout autant à apporter à une équipe que le candidat orthonormé qui, en apparence, ne connait ni l’échec ni la souffrance. C’est cette complémentarité d’ailleurs qui me semble riche de sens. Et c’est dans l’épreuve qu’elle se soude.

Une équipe n’est pas un groupe d’individus clonés. Nos singularités nées de notre histoire font de nous notre richesse. Le collectif assure également à chacun l’appui quand l’un de ses coéquipiers tombe.

J’entends déjà mes détracteurs se moquer de ce qu’ils pensent être une vision naïve de nos organisations. Il s’agit peut-être de mon utopie mais j’ai la chance extraordinaire de vivre cela au quotidien dans mon entreprise et je tente de transmettre à mes clients ce message.


Dernier point incontournable pour en finir avec ce relent de moutarde qui me pique le nez ; quand les managers cesseront d’envoyer des mails à minuit, le we, en attendant qu’il soit fait réponse, quand les salariés pourront déconnecter les téléphones, ne plus travailler 12 heures par jour parce qu’on n’a pas remplacé le collègue parti en retraite, je pense qu’on assistera peut-être un vrai mieux être (pas au travail… non non…) juste dans la vie.

Sources :
https://www.linkedin.com/pulse/limposture-du-bien%C3%AAtre-au-travail-elvire-daudigny-del-fondo/?trk=eml-email_feed_ecosystem_digest_01-recommended_articles-3-Unknown&midToken=AQHD_-5JeLQpfg&fromEmail=fromEmail&ut=2AyUkcWeGw2F01


lundi 23 septembre 2019

J'irai vous rencontrer et dormir chez vous !

HUMAN ROAD KANGOO TOUR, c'est un groupe sur Facebook !

https://www.facebook.com/groups/HRKTD/

Le programme "J'irai vous rencontrer et dormir chez vous !" se propose de désacraliser la rencontre, d'avoir un temps de réflexion sur la communication virtuelle et la communication interpersonnelle, la convivialité et la culture en générale !


L'argument : pouvez-vous accueillir un étranger chez vous ?
Les réseaux sociaux et internet proposent-ils une véritable rencontre ?
Est-ce que la communication se réduit à une prolifération de moyens techniques et technologiques de communication ?
La convivialité,  n'est-ce pas "le vivre ensemble", puisqu'il s'agit de s’asseoir autour d'une table pour partager des mets dans la plus grande tolérance des idées.


La règle du jeu : accueillir un étranger (moi) chez vous pendant un jour et une nuit !

De prime abord, ça a l'air d'une galéjade mais c'est beaucoup plus profond.

A la rencontre de l'autre et à la rencontre de soi, sans exclusions et sans peur de l'étrangeté de l'étranger. Une manière de partager l'amitié, l'hospitalité, la convivialité d'un repas loin de la virtualité du web.

Au risque de la rencontre ...vivre ensemble !

Loin des réseaux virtuels, que l'on nomme "sociaux", mais qui sont plus (pour moi) sur le versant de la sociopathie que de la sociabilité, j'essaye d'atteindre votre part d'humanité !

J'en veux pour preuve cette anecdote, plusieurs "amis facebook" de Béziers m'ont contacté, j'ai répondu favorablement à leur demande d'amis.
Et, puisque nous habitons à Béziers, dans la même ville, je leur ai proposé d'aller boire un café ensemble sur les allées Paul Riquet.

Ma proposition me parait honnête et sans ambiguïté.
Cependant, aucune personne n'a accepté de boire un café avec moi, au contraire, j'ai senti de la méfiance, une "amie fb" m'a même répondu "quelle est votre demande ?"
Ce à quoi j'ai répondu : "aucune, c'est seulement une rencontre entre deux êtres humains !"

Nous entendons partout les théoriciens du vivre ensemble, nous donner des leçons pour vivre et nous développer ensemble. Nous voyons bien que dans la réalité du quotidien, c'est autre chose!

HUMAN ROAD KANGOO TOUR, c'est ma façon de lutter contre la peur de l'Autre, de l'étranger, du migrant.

Contactez-moi et invitez-moi, par mail à : jlaa.artiste@gmail.com


Aujourd'hui, je reprends la route inlassablement pour venir vous rencontrer, prendre le risque de la rencontre, transmettre et partager l'hospitalité et le vivre ensemble.

Mon slogan et mon leitmotiv : On the road again ...

Blogs : blogart'blogueur.blogspot.com
             blogarat.blogspot.com

Jean-Louis Aguilar-Anton / Art'Blogueur

"Je ne suis pas propriétaire de la Terre, je n'en suis que le locataire, je n'ai pas de pays, je n'ai pas de drapeau, juste un humain dans la course folle de la Vie et de la Mort !

samedi 8 juin 2019

Louis Oké-Agbo : Plus on est de fous, plus c'est arty !

PORTO-NOVO au BENIN

Louis Oké-Agbo : Plus on est de fous, plus c'est arty !

Parmi les différents ateliers d’artistes qu’il est possible de visiter à Porto-Novo, il en existe un pas comme les autres : celui de Louis Oké-Agbo, photographe qui a ouvert en 2017 un centre d’art pour la thérapie de la santé mentale. Ou quand l’art se met au service de l’Homme et de son équilibre…


La marginalisation peut-elle conduire à la folie ? Est-ce que tu penses qu’il existe une chose plus triste que la folie ? Autant de questions apposées sur les murs d’enceinte de ce centre d’art pas comme les autres du quartier de Tokpota. Mais qu’est-ce qui a bien pu pousser Louis Oké-Agbo, photographe béninois à succès, à s’intéresser aux tourments de l’âme humaine et à ses tourmentés au point de faire de ce centre l’épine dorsal de son travail ?

Louis Oké-Agbo, il n’y a pas de grand esprit sans un grain de folie
« Quand je vois des gens vivant dans la rue, ça me touche. Je suis l’aîné de ma famille, une famille pauvre, j’y ai été exploité. Et une famille polygame. Mon père ne s’occupait pas de moi, je n’avais pas la parole… » Louis se veut pudique sur ce qui le porte vers les laissés-pour-compte. Pourtant, on sent une faille lointaine et profonde qui anime chez lui cette flamme en faveur des marginalisés. « J’ai l’intuition d’être le porte-parole des personnes atteintes de maladie mentale »… Ce ne sont pas de vains mots. Car celui-ci va leur dédier tout son art…

Louis Oké-Agbo compose des photographies à la technique bien spécifique et son travail est reconnaissable parmi cent autres : il superpose des visages et des corps avec des textures volées à des murs, à la terre... « Un mur contient l’histoire des gens qui ont vécu là… » Très engagé à l’égard de notre planète, son travail photographique fait ainsi souvent le lien entre Homme et environnement, entre notre peau, et notre terre. Parmi les différentes séries que l’artiste a pu travailler, on retrouve forcément la folie, qui le taraude tant, mais aussi l’adolescence ou encore le vaudou. La vente de ses œuvres sert essentiellement à financer le centre de thérapie.


« L’art est un fil entre folie et raison… »
Ils s’appellent Bruce, Gildas, Benjamin, Gérard… Depuis plus d’un an maintenant, ils sont dix patients fréquentant régulièrement la cour du centre d’art. Ici, l’expression est libre. Les artistes, psychiatres et psychologues qui oeuvrent là n’ont pour vocation que l’accompagnement des malades au travers de la musique, de la peinture, de la photo, du sport aussi. Deux fois par semaine, le centre ouvre ses portes et propose à ces esprits fêlés d’être à nouveau considéré et d’améliorer leur bien-être le temps de quelques heures précieuses. Le résultat est surprenant…

Certains déploient un véritable talent pour le maniement des couleurs, l’expression de leur démence au travers des pigments, des formes… La découverte de leur travail s’avère étonnante : « Au départ, ils rechignaient à venir. Maintenant, ils le font d’eux-mêmes. Ici ils sont apaisés, autonomes. Et ça crée du lien entre eux et la société. Grâce à ces œuvres, aux portes ouvertes que l’on propose, on invite à la réinsertion de ces personnes malades et marginales. Il faut savoir qu’ici au Bénin, les trisomiques sont tués dans les familles. Si la société accepte leur travail, alors elle les accepte eux… »

Attention, considération, réinsertion... Autant de mots qui mis bout à bout conduisent les "fous" de Louis Oké-Agbo sinon à la guérison, du moins à l’apaisement. Une visite passionnante aux côtés d’un homme qui a su mettre l’art au service de la santé tant il semble inquiété et habité par cette maxime qu’il a tourné et retourné pour s’accomplir : la folie est le propre de l’Homme...


Publié avec l'aimable autorisation de Louis Oké-Agbo
Sources :
https://www.babel-voyages.com/benin/a-visiter/louis-oke-agbo-plus-on-est-de-fous-plus-c-est-arty.html

mardi 21 mai 2019

Réponse de Chantal RAJIC à la bipolarité sociétale !


Si la France est malade faut-il la débrancher ?
Que sait-on de son inconscient après le débranchement ?
Mais se débrancher de tous les médias qui diffusent et infusent à chaud et à froid des potions qui mentent alors que nous préférons le tilleul-menthe.

Pourquoi depuis les années 80, une manipulation seconde guerre mondiale vient-elle envahir nos écrans de télévision ?
Et avant les élections, c'est encore pire...comme si il fallait refaire la guerre toujours et toujours, ne pas oublier, désigner des coupables et les faire revivre.
Pourquoi le mot nazi est-il si employé de nos jours, même sans connaître sa signification exacte ?
Pourquoi manipuler les peuples avec la peur ? alors que se libérer de la peur c'est se libérer de la violence.

De l'instauration de l'ordre nouveau du nazisme nous sommes passés au nouvel ordre mondial.
A qui rapporte le crime ? Et si tout avait été planifié...
De nos jours, on extermine toujours insidieusement avec  l'aide de l'industrie pharmaceutique, l'industrie agro-alimentaire, l'industrie de l'armement, l'industrie du tabac etc... mais c'est pour notre bien, pauvres petits cobayes.
Pour faire la guerre, il faut désigner un ennemi.
Notre pire adversaire, c'est nous-même.
Nous avons changé de siècle, se libérer du passé est essentiel pour se relier à la paix.
Paradoxalement, les politiques et les médias nous proposent toujours l'inverse. Cherchez l'erreur..
Dans l'empire romain, pour gouverner, il fallait donner au peuple du pain et des jeux.  Quand le peuple peut se nourrir et se divertir tout va bien.
Quand on voit actuellement, l'importance du foot, des jeux vidéos et du fooding style Mac Do, de l'alcool et des drogues dans la vie des peuples, Hollywood n'est pas loin :  Ave Cesar !
Tout le monde aux arènes, tout le monde aux arrêts, pauvres prêcheurs !

Après l'épreuve du feu, il y a la renaissance
de notre propre essence,
une prise de conscience
et si tout faisait sens ?
Accepter les expériences
dans l'impermanence.
Manifester sa création
pour vivre à l'unissons.
Vivre notre vérité
sans être limité
pour nous transformer
pour évoluer
pour l'humanité.

Quant à l'homéopathie, je croyais que "Oméo était pati" mais Jules y est encore là.

J'ai bien entendu le cri d'alarme du troglodyte .
"Le troglodyte mignon" est un oiseau libre, seul membre européen (encore l'Europe) de la famille des troglodytes, le troglodyte mignon, surnommé « roitelet des haies » est un oiseau très secret, qui est difficile à trouver.
Le politologue troglodyte lui, vit dans une petite caverne creusé dans la roche, dite roche de Béziers. Il blogue et parfois il blague aussi. (source Wikipédia)

Chantal

lundi 20 mai 2019

Bipolarité sociétale... la Maison France malade de la politique ?

Elections européennes du dimanche 26 mai 2019

La France prise en otage par deux partis politiques, ce n'est pas nouveau, nous l'avons déjà connu pour l'élection présidentielle de Jacques Chirac en 2002.
Désormais, nous sommes soumis à cette bipolarité.


Voulez vous un fascisme hard ?


Voulez-vous un fascisme light ?

C'est un danger réel pour notre démocratie, car c'est un vrai déni de démocratie.
Puis, c'est la disparition programmée de notre république qui n'est plus garante de nos institutions puisqu'elle est en marche !

Comment soigner la Maison France qui est bien malade ?
Je propose un traitement à base de lithium écologique qui permet de réguler l'humeur, de rétablir une parité et une pérennité républicaine avec à la clé une démocratie citoyenne.


Pour carburer mieux penser au lithium !


Si vous préférer l'homéopathie, je ne suis pas contre !


Notre Dame priez pour nous, pauvres pêcheurs !

Jean-Louis Aguilar-Anton / Art'blogueur
Politologue troglodyte  !

vendredi 10 mai 2019

Le retour... par Chantal Rajic

OU EST JEAN-LOUIS ?


Bonjour Jean-Louis,

Ces derniers mois, mon regard a souvent croisé cette affiche de théâtre, son titre m'a amusée.
Au mois d'octobre, je voulais répondre : "Mais il est là-bas tout simplement, de retour là-bas".


Alger sourit et bientôt Alger rit.
Le temps de la réparation
est un espace d'exception
dans le processus de création.
Réparer l'ADN traumatisé
comme on répare un jouet cassé.
Qui a brisé les jouets des enfants égarés,
l’insouciance et l'innocence des enfants déplacés ? 
Retour vers la chaleur
grand  oiseau migrateur
qui part avec bonheur
occultant la peur
tel un grand voyageur.
Refaire la route à rebours
à la lumière du jour,
chasser l'ombre qui souffre,
les moments de détresse.
Prendre un chemin léger
mélanger à l'ivresse
d'aller pour réparer
l'histoire des oubliés.
En revenant d'Alger,
il a tout déposé aux portes du passé
sans l'avoir oublié.
L'histoire est intégrée
et même transmutée.
Là où tout commence,
une présence jaillit de l'absence.
Etre d'ailleurs est un bonheur
qui réunit les cœurs.
Le panseur de chagrin
distille une liqueur
au goût de romarin.

Chantal

Alger sourit et bientôt Alger rit.
Le temps de la réparation
est un espace d'exception
dans le processus de création.
Réparer l'ADN traumatisé
comme on répare un jouet cassé.
Qui a brisé les jouets des enfants égarés,
l’insouciance et l'innocence des enfants déplacés ? 
Retour vers la chaleur
grand  oiseau migrateur
qui part avec bonheur
occultant la peur
tel un grand voyageur.
Refaire la route à rebours
à la lumière du jour,
chasser l'ombre qui souffre,
les moments de détresse.
Prendre un chemin léger
mélanger à l'ivresse
d'aller pour réparer
l'histoire des oubliés.
En revenant d'Alger,
il a tout déposé aux portes du passé
sans l'avoir oublié.
L'histoire est intégrée
et même transmutée.
Là où tout commence,
une présence jaillit de l'absence.
Etre d'ailleurs est un bonheur
qui réunit les cœurs.
Le panseur de chagrin
distille une liqueur
au goût de romarin.

Chantal

Art-thérapies au Bénin

Art-thérapies en Algérie

Mon pays c'est l'Algérie, c'est la Méditerranée, c'est l'Espagne, c'est la France, c'est l'Afrique...

Jean-Louis Aguilar-Anton
Citoyen du monde 
Art-thérapeute sans frontières

mercredi 8 mai 2019

A ciel ouvert... par Chantal RAJIC !

Lettre de Chantal à Notre-Dame de Paris


J'étais dans un parc hier à Pantin, loin du centre de Paris, quand l'incendie à Notre-dame s'est déclaré. J'ai senti qu'il y avait un bâtiment qui brûlait, une odeur de feu, de métal brûlant... Je ne pouvais pas savoir ce qui se passait à ce moment.

Vers 20 h 45, j'ai entendu les informations et compris que la cathédrale était en flammes. J'ai alors allumé la TV et suivi en direct les événements, le sauvetage, la lutte des soldats du feu, jusqu'au moment  où, vers 1h du matin, l'incendie semblait être maîtrisé, ne provoquant plus de dégâts majeurs ni de peur à cette heure.

Une émotion collective envahissait les deux rives.
Dans les ténèbres, les flammes ondulantes étaient toujours vives.
L'eau de la Seine devait être remplie de nos larmes pour éteindre les flammes et unir nos âmes.


Au petit matin, la Dame était toujours là, même si elle avait perdu une partie d'elle-même.
Une nuit de prières et de chants avait soutenu les efforts des uns et des autres et l'espoir d'y croire encore.

Au bout d'un long parcours,
de nuit et de jour,
les deux tours tenaient toujours.
Alors comme pour se manifester
une larme a coulé.

Cela nous amène à réfléchir sur notre propre structure qui s'effondre et notre choix de vouloir ou pas nous reconstruire.
Quand je vois les élans, les prises de conscience en France et hors de nos frontières, je trouve important d'apporter "notre pierre prière", notre savoir faire ou être, notre énergie de vie face à un drame qui affecte notre âme.
Transmutons notre ombre en lumière pour devenir des vitraux illuminant le vivant et l'absence fera sens.
Ce sont nos racines et nos ailes qui ont été touchées, c'est le moment de les déployer comme pour sortir d'une guerre à ciel ouvert.
Bisous à tous les deux,
Chantal

lundi 11 mars 2019

Anne Sarda "Le petit peuple, toujours plus nombreux"

Pour commémorer les 80 ans de la Retirada, les expositions se multiplient dans la région.
A Millau, l’installation d’Anne Sarda permet de rendre hommage aux Espagnols en exil mais plus généralement à tous ces êtres qui cherchent leur place dans l’univers, ballottés par des actualités qui les dépassent.


La plasticienne audoise Anne Sarda a de la suite dans les idées: elle a présenté pour la première fois en 2004 son “petit peuple”. Quinze ans après, le voilà à nouveau, mais dans une forme enrichie année après année: le petit peuple a grandi, s’est multiplié et a diversifié ses manifestations. Aujourd’hui, la ville de Millau a choisi de le présenter comme un hommage à tous les exilés de la terre, en cette année où l’on fête un peu partout dans la région les 80 ans de la Retirada.


Ce petit peuple existe donc maintenant sous de nombreuses formes. Avant tout, bien évidemment, par ses personnages d’origine, frêles morceaux de bois assemblés pour constituer corps et tête, rien de plus. Ils sont nombreux, ils forment un tout, une foule. Même si chacun a des traits différents, ils ont une présence qui tient avant tout à leur nombre. C’est l’origine du projet, pour cette artiste autodidacte, très à l’aise dans le land-art et les installations in situ, que ce soit à partir de morceaux de bois comme ici ou, pour d’autres travaux, d’installations de “lirettes”, ces fils utilisés par les viticulteurs pour accrocher les sarments dans la vigne. Deux exemples parmi d’autres, pour montrer la volonté de l’artiste de travailler avec les matériaux disponibles dans un endroit donné.

Pour le petit peuple, le point de départ est donc constitué de ces petits bouts sans prétention, qui font entre 20 et 40 cm, qu’on trouve sur les plages: certains les ramassent pour en faire des créations, d’autres… parce que cela constitue également d’excellents bois de cheminée!


Anne Sarda, elle, les assemble, pour constituer des silhouettes vaguement anthropomorphes. “Souvent, très souvent, rajoute-t-elle, la tête repose non loin du corps, comme si je ne faisais que reconstituer quelque chose soumis à une dislocation”.

Les artistes sont nombreux à utiliser les bois flottés, mais bien souvent ils s’en inspirent pour créer un univers loufoque, gai, des créatures proches des dragons ou des choses tendant vers les masques africains.

Rien d’aussi léger, ici. Anne Sarda utilise cette matière pour en valoriser la fragilité et la dislocation.  “J’ai trouvé chaque pièce qui constitue ce petit peuple par terre, foulée aux pieds. Comme si je cheminais sur un champ de bataille. Ce qui m’intéresse, c’est la matière au rebut, et surtout les traces que le temps laisse sur cette matière. Les bois morts et flottés, les objets et déchets, travaillés par les éléments, les écorces tombées, les cailloux du petit Poucet”. Toutes ces choses deviennent personnages, expressions d’un autre monde, d’une autre histoire, d’un autre peuple.

Le but de ma recherche est de créer un tout avec des petits riens, de donner du sens à l’insignifiant. J’essaie d’utiliser ces petits riens pour rendre accessible une histoire au plus grand nombre sans le secours d’un discours abscons: tombés roulés, ballotés, de la rivière à la mer, ces petits bois s’échouent sur nos plages, après un long voyage. Ils se relèvent ils se mettent en marche ils cherchent un lieu pour leur cri’.

Mais depuis que l’aventure a commencé, Anne Sarda l’a nourrie d’autres éléments qui donnent une histoire à ce petit peuple: l’exposition montre ainsi des dazibaos de l’origine, des tirages photographique sur flag; une déclaration Universelle des Droits du Petit Peuple; un alphabet et quelques portraits de famille; un court-métrage, deux livres et, spécifiquement pour l’expo de Millau, des œuvres à l’encre. Egalement de grands mobiles car ce petit peuple ne reste pas figé, il avance, envers et contre tout. Les noms évoquent les tentatives, les joies mais aussi les échecs: Errance (le plus grand des mobiles, créé spécifiquement pour cette exposition, Danseurs, On tourne en rond, Embarcations, Bouts de chemins, Pirogues, etc. Et enfin, des valises, plus ou moins vieilles, pour un peuple toujours prêt à partir.

En creusant sans cesse cette veine créative, Anne Sarda finit par donner à ce petit peuple toute une existence propre. Elle rejoint en cela les artistes démiurges qui cherchent à créer non pas une oeuvre, mais un univers dans sa globalité. Le plus connu est évidemment l’auteur du Seigneur des anneaux, J.R. Tolkien, ce philologue qui a inventé le peuple des hobbits, mais surtout une langue et une mythologie pour donner vie à ses créatures. On peut aussi évoquer le monde que Jephan de Villier a créé au milieu du XXè sicèle. Et plus près de nous, dans le temps et l’espace (il travaille dans le Gard), Nicolas Hamm avec l’aventure Arkae Mundi, autre aventure dans lequel un artiste s’investit totalement depuis des années et qui est toujours en cours.

BIO EXPRESS
Anne Sarda, née en 1964 à Narbonne, réalise ses premiers collages et mobiles dès son enfance. Elle suit une formation technique supérieure et commence sa vie professionnelle dans ce secteur,  autrement dit l’organisation et la médiation culturelle, avant de choisir de revenir à la création artistique et de s’y consacrer pleinement.

Tout en posant pour différents artistes sculpteurs ou photographes, elle expose régulièrement collages et mobiles à partir de 1995, alternant pendant cinq ans expositions personnelles et manifestations collectives. Après une courte interruption (notamment dû à l’inondation de sa maison et de son atelier fin 1999), passionnée par l’écologie et engagée, elle se tourne définitivement vers les installations « in situ » qu’elle multiplie jusqu’à aujourd’hui dans toute la France et à l’étranger. Parallèlement, elle poursuit un travail d’illustration et d’édition, et des interventions pédagogiques régulières.
Avec Le Petit Peuple, Anne Sarda avance sur la même voie, avec en plus une résonance particulièrement forte avec l’histoire de la région et l’actualité de la planète.

Ces petits bouts de bois évoquent aussi bien les Espagnols sur la route de l’exil il y a 80 ans que les migrants qui tentent le tout pour le tout en traversant la Méditerranée.

Une oeuvre que l’artiste souhaite à sa manière militante, elle qui n’hésite jamais à intervenir bénévolement pour la Cimade ou le Réseau Education sans frontière (RESF)..

L’infini voyage du Petit Peuple
Nouveau Théâtre Néo Cinétique
Installation mobile et théâtre immobile

Hôtel de Tauriac
Millau (Aveyron)
Du 19 avril au 16 juin

Sources : https://www.artistes-occitanie.fr/2019/03/02/anne-sarda/

vendredi 8 mars 2019

Week-end d’art-thérapie aux Ateliers de la Scierie

Week-end d’art-thérapie aux Ateliers de la Scierie
A FONDAMENTE (Sud-Aveyron)

Pensez l’art-thérapie autrement !
Avec Jean-Louis Aguilar / Formateur et Art-thérapeute

Chez Sophie Vigneau
artiste graveur plasticienne du livre et art thérapeute

Samedi 27 et dimanche 28 juillet 2019
« Les Médiations artistiques et culturelles et/ou art-thérapies »


Les Ateliers de la Scierie à Fondamente

Chambres d'hôte : une nuit + petit déjeuner = 50 €
Possibilité de restauration sur place midi 8 € soir 12 € cuisine maison et du jardin, produits locaux, Label Accueil Paysan
Jardin aménagé, baignade à la retenue d’eau
Ballades à proximité Roquefort, Abbaye de Sylvanès, Sites Templiers/Hospitaliers Larzac…
Visite de l'exposition de l'été Elisabeth Baillon

Contact hébergement :
Sophie Vigneau : 0628650013
sophie.vigneau.artiste.graveuse@orange.fr


Tarifs formation : 220€
Les inscriptions ne sont effectives qu’à réception de votre bulletin d’inscription accompagné de votre chèque avant le 30 juin 2019.
Votre chèque ne sera encaissé que lorsque vous aurez effectué la formation, en cas d’annulation il ne sera pas encaissé.

Contact formation :
JLAA / Art-thérapies / Formation
jlaa.artiste@gmail.com
Port. 0683595110


L’Atelier de Sophie Vigneau

Programme du stage :
Samedi  27 juillet
9h30 Accueil café

1. Cours « Médiations artistiques et culturelles »

2. Atelier « dessine-moi ta ville » + débriefing

3. La question de l’exposition en art-thérapie

12h30 à 13h30 Pause-repas

13h30-17h30

4. Atelier « Peinture » + débriefing

5. Atelier d’expression libre + débriefing

Dimanche 28 juillet
9h30 Accueil café

1. L’image, la photographie.
Apporter votre appareil photo ou Smartphone

2. Atelier « Paysages urbains » + débriefing

12h30-13h30  Pause repas

13h30-17h30

3. Ateliers « Café des Arts » + débriefing
Utilisation du groupe de parole

4. Atelier collage

5. Bilan du stage

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Horaires de la formation de 9h30 à 12h30 et 13h30 à 17h30 (14h)

Lieu : Les Ateliers de la Scierie chez Sophie Vigneau (0628650013)
Route de Saint-Beaulize
12540 FONDAMENTE

Bulletin d’inscription :
Nom :
Prénom :
Adresse :

Mail :
Téléphone :

Bulletin d’inscription + chèque formation à adresser à:
Jean-Louis Aguilar (0683595110)
9, rue Julien Imbert
34500 Béziers

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Apporter votre appareil photo ou Smartphone

Matériels nécessaires pour le stage d’art-thérapie :
le matériel est fourni par JLAA / Art-thérapies/ Formation

1 vidéoprojecteur
1 écran de projection

Atelier peinture et dessin :
Feuilles de papier canson
Peintures et pinceaux
Crayons, pastels, aquarelles…

Atelier collage :
Vieux magazines pour le découpage
Ciseaux, colle bâtons
Feuilles de papiers canson

JLAA / ART-THERAPIES / FORMATION
Enseignant-Art-thérapeute-auto-entrepreneur
N° de Siret 82969583200016

Association ARAT N° de Siret 53384433800012
N° de prestataire de formation professionnelle continue 76340938134