mardi 21 mai 2019

Réponse de Chantal RAJIC à la bipolarité sociétale !


Si la France est malade faut-il la débrancher ?
Que sait-on de son inconscient après le débranchement ?
Mais se débrancher de tous les médias qui diffusent et infusent à chaud et à froid des potions qui mentent alors que nous préférons le tilleul-menthe.

Pourquoi depuis les années 80, une manipulation seconde guerre mondiale vient-elle envahir nos écrans de télévision ?
Et avant les élections, c'est encore pire...comme si il fallait refaire la guerre toujours et toujours, ne pas oublier, désigner des coupables et les faire revivre.
Pourquoi le mot nazi est-il si employé de nos jours, même sans connaître sa signification exacte ?
Pourquoi manipuler les peuples avec la peur ? alors que se libérer de la peur c'est se libérer de la violence.

De l'instauration de l'ordre nouveau du nazisme nous sommes passés au nouvel ordre mondial.
A qui rapporte le crime ? Et si tout avait été planifié...
De nos jours, on extermine toujours insidieusement avec  l'aide de l'industrie pharmaceutique, l'industrie agro-alimentaire, l'industrie de l'armement, l'industrie du tabac etc... mais c'est pour notre bien, pauvres petits cobayes.
Pour faire la guerre, il faut désigner un ennemi.
Notre pire adversaire, c'est nous-même.
Nous avons changé de siècle, se libérer du passé est essentiel pour se relier à la paix.
Paradoxalement, les politiques et les médias nous proposent toujours l'inverse. Cherchez l'erreur..
Dans l'empire romain, pour gouverner, il fallait donner au peuple du pain et des jeux.  Quand le peuple peut se nourrir et se divertir tout va bien.
Quand on voit actuellement, l'importance du foot, des jeux vidéos et du fooding style Mac Do, de l'alcool et des drogues dans la vie des peuples, Hollywood n'est pas loin :  Ave Cesar !
Tout le monde aux arènes, tout le monde aux arrêts, pauvres prêcheurs !

Après l'épreuve du feu, il y a la renaissance
de notre propre essence,
une prise de conscience
et si tout faisait sens ?
Accepter les expériences
dans l'impermanence.
Manifester sa création
pour vivre à l'unissons.
Vivre notre vérité
sans être limité
pour nous transformer
pour évoluer
pour l'humanité.

Quant à l'homéopathie, je croyais que "Oméo était pati" mais Jules y est encore là.

J'ai bien entendu le cri d'alarme du troglodyte .
"Le troglodyte mignon" est un oiseau libre, seul membre européen (encore l'Europe) de la famille des troglodytes, le troglodyte mignon, surnommé « roitelet des haies » est un oiseau très secret, qui est difficile à trouver.
Le politologue troglodyte lui, vit dans une petite caverne creusé dans la roche, dite roche de Béziers. Il blogue et parfois il blague aussi. (source Wikipédia)

Chantal

lundi 20 mai 2019

Bipolarité sociétale... la Maison France malade de la politique ?

Elections européennes du dimanche 26 mai 2019

La France prise en otage par deux partis politiques, ce n'est pas nouveau, nous l'avons déjà connu pour l'élection présidentielle de Jacques Chirac en 2002.
Désormais, nous sommes soumis à cette bipolarité.


Voulez vous un fascisme hard ?


Voulez-vous un fascisme light ?

C'est un danger réel pour notre démocratie, car c'est un vrai déni de démocratie.
Puis, c'est la disparition programmée de notre république qui n'est plus garante de nos institutions puisqu'elle est en marche !

Comment soigner la Maison France qui est bien malade ?
Je propose un traitement à base de lithium écologique qui permet de réguler l'humeur, de rétablir une parité et une pérennité républicaine avec à la clé une démocratie citoyenne.


Pour carburer mieux penser au lithium !


Si vous préférer l'homéopathie, je ne suis pas contre !


Notre Dame priez pour nous, pauvres pêcheurs !

Jean-Louis Aguilar-Anton / Art'blogueur
Politologue troglodyte  !

vendredi 10 mai 2019

Le retour... par Chantal Rajic

OU EST JEAN-LOUIS ?


Bonjour Jean-Louis,

Ces derniers mois, mon regard a souvent croisé cette affiche de théâtre, son titre m'a amusée.
Au mois d'octobre, je voulais répondre : "Mais il est là-bas tout simplement, de retour là-bas".


Alger sourit et bientôt Alger rit.
Le temps de la réparation
est un espace d'exception
dans le processus de création.
Réparer l'ADN traumatisé
comme on répare un jouet cassé.
Qui a brisé les jouets des enfants égarés,
l’insouciance et l'innocence des enfants déplacés ? 
Retour vers la chaleur
grand  oiseau migrateur
qui part avec bonheur
occultant la peur
tel un grand voyageur.
Refaire la route à rebours
à la lumière du jour,
chasser l'ombre qui souffre,
les moments de détresse.
Prendre un chemin léger
mélanger à l'ivresse
d'aller pour réparer
l'histoire des oubliés.
En revenant d'Alger,
il a tout déposé aux portes du passé
sans l'avoir oublié.
L'histoire est intégrée
et même transmutée.
Là où tout commence,
une présence jaillit de l'absence.
Etre d'ailleurs est un bonheur
qui réunit les cœurs.
Le panseur de chagrin
distille une liqueur
au goût de romarin.

Chantal

Alger sourit et bientôt Alger rit.
Le temps de la réparation
est un espace d'exception
dans le processus de création.
Réparer l'ADN traumatisé
comme on répare un jouet cassé.
Qui a brisé les jouets des enfants égarés,
l’insouciance et l'innocence des enfants déplacés ? 
Retour vers la chaleur
grand  oiseau migrateur
qui part avec bonheur
occultant la peur
tel un grand voyageur.
Refaire la route à rebours
à la lumière du jour,
chasser l'ombre qui souffre,
les moments de détresse.
Prendre un chemin léger
mélanger à l'ivresse
d'aller pour réparer
l'histoire des oubliés.
En revenant d'Alger,
il a tout déposé aux portes du passé
sans l'avoir oublié.
L'histoire est intégrée
et même transmutée.
Là où tout commence,
une présence jaillit de l'absence.
Etre d'ailleurs est un bonheur
qui réunit les cœurs.
Le panseur de chagrin
distille une liqueur
au goût de romarin.

Chantal

Art-thérapies au Bénin

Art-thérapies en Algérie

Mon pays c'est l'Algérie, c'est la Méditerranée, c'est l'Espagne, c'est la France, c'est l'Afrique...

Jean-Louis Aguilar-Anton
Citoyen du monde 
Art-thérapeute sans frontières

mercredi 8 mai 2019

A ciel ouvert... par Chantal RAJIC !

Lettre de Chantal à Notre-Dame de Paris


J'étais dans un parc hier à Pantin, loin du centre de Paris, quand l'incendie à Notre-dame s'est déclaré. J'ai senti qu'il y avait un bâtiment qui brûlait, une odeur de feu, de métal brûlant... Je ne pouvais pas savoir ce qui se passait à ce moment.

Vers 20 h 45, j'ai entendu les informations et compris que la cathédrale était en flammes. J'ai alors allumé la TV et suivi en direct les événements, le sauvetage, la lutte des soldats du feu, jusqu'au moment  où, vers 1h du matin, l'incendie semblait être maîtrisé, ne provoquant plus de dégâts majeurs ni de peur à cette heure.

Une émotion collective envahissait les deux rives.
Dans les ténèbres, les flammes ondulantes étaient toujours vives.
L'eau de la Seine devait être remplie de nos larmes pour éteindre les flammes et unir nos âmes.


Au petit matin, la Dame était toujours là, même si elle avait perdu une partie d'elle-même.
Une nuit de prières et de chants avait soutenu les efforts des uns et des autres et l'espoir d'y croire encore.

Au bout d'un long parcours,
de nuit et de jour,
les deux tours tenaient toujours.
Alors comme pour se manifester
une larme a coulé.

Cela nous amène à réfléchir sur notre propre structure qui s'effondre et notre choix de vouloir ou pas nous reconstruire.
Quand je vois les élans, les prises de conscience en France et hors de nos frontières, je trouve important d'apporter "notre pierre prière", notre savoir faire ou être, notre énergie de vie face à un drame qui affecte notre âme.
Transmutons notre ombre en lumière pour devenir des vitraux illuminant le vivant et l'absence fera sens.
Ce sont nos racines et nos ailes qui ont été touchées, c'est le moment de les déployer comme pour sortir d'une guerre à ciel ouvert.
Bisous à tous les deux,
Chantal